Sora Jumoku

Prénom : Sora
Nom : Jumoku
Surnom(s): So

Nationalité : Japonaise

Clan : Jumoku bien sur… Quelle question !

Age : 20 ans
Métier : Etudiante en économie
Orientation sexuelle : Bisexuelle, avec un penchant plus favorable pour les hommes.

Rang souhaité : L’Amaryllis vénéneuse

Casier Judiciaire : /

Description physique :

Sora ressemble énormément à sa mère, qui possédait un charme et un charisme particulier. Elle en a d’ailleurs hérité. Ces cheveux sont mi long, souple et soyeux, caressant légèrement ses épaules, de couleur ébène avec une fragrance violine. Des mèches retombent sur son visage ovale, cachant une petite partie de son visage. Ces yeux son marron claire, on pourrait même dire qu’ils possèdent la couleur de l’ambre, ces l’impression qu’on souvent les gens en la regardant droit dans les yeux, ce qui est accentuer par ses longs et fins cils noir qui les encadrent. Elle possède un petit nez fin à bout arrondit, une petit bouche pulpeuse sans trop l’être non plus, juste assez pour qu’on le remarque. Elle à la peau fine, douce, lisse, satiné et légèrement doré. Un doré complètement naturel. Elle ne fait pas du out son âge, ressemblant plus à une adolescente de dix-sept ans.

Ne vous fier pas à sa petite bouille d’enfant, du haut de ses 1m72 pour 67 kg, elle connait très bien son potentiel, l’effet dévastateur que possède son corps. De longue jambe fine, une taille fine et musclé, juste assez tout du moins, une jolie poitrine ronde ferme, sans excès, tout juste ce qu’il lui faut, bien qu’elle les juge trop petit. Mais qui s’accorde parfaitement avec sa silhouette. Ses petite mains son fine, on pourrait presque crois qu’elle ne pourrait pas faire de mal à une mouche. Elle vous dirait que c’est exactement l’effet recherché. Vous l’avez donc deviner, c’est une jolie jeune fille dans la fleur de l’âge. De sa démarche souple et féline, elle peut envouter homme et femme sur son passage. Elle sait utiliser ses atouts lorsqu’elle désir réellement quelque chose.

Sora est plutôt du genre à mettre un maquillage discret, eye-liner, gloss ou rouge à lèvre plutôt foncé, un peu de fard pour les yeux de temps à autre. C’est de son point de vue amplement suffisant. Une odeur de fleur, peut être l’orchidée, flotte dans l’air en sa présence. Mademoiselle Jumoku s’habille avec classe, parfois moulant, parfois sérieux, rarement masculine, tout comme les couleurs, elle porte tel ou tel habit selon son humeur… Elle aime la matière chic portant de temps à autres des vêtements de marque. En particulier Prada…


Description psychique :

Le psychique de cette jeune femme… Depuis très longtemps elle à quitter l’enfance. Peut être même un peu trop tôt, même si elle affiche ce petit air de gamine déluré, qu’elle se comporte comme la fille à son papa. Ne vous y tromper pas. Ce n’est qu’un masque, une façade, pour cacher aux autres et surtout à son père ses activités. Curieuse, calculatrice et manipulatrice, elle arrive facilement à embobiner son monde. Elle ne se permettrait pas de dire qu’elle plait à tout le monde, mais elle sait qu’elle ne laisse pas indifférents ni les femmes, ni les hommes. Elle met donc son corps en valeurs le plus souvent pour arriver à ses fins, ainsi que pour plaire. Elle est intelligente, joueuse et possède une grande fierté, tout comme l’Oyabun. Sora essaye généralement de ne pas utilisé la violence, prônant plutôt l’intelligence, cependant si une un peu trop de sa patience. A ce moment la on peut le voir dans ces yeux, qui deviennent perçant. Elle peut se montrer très cruelle. Un côté qu’elle essaye de réfréner pour son père. Il est très difficile de la faire plier à ces exigences, même le chef du clan à du mal, mais d’un autre côté c’est son père.

So aime s’amuser, taquiner, ironiser et c’est une très bonne menteuse, c’est comme une seconde nature chez elle lorsque le besoin s’en fait sentir. Elle est très consciencieuse elle fait attention à tout ce qui l’entoure, analyse chaque mots parfois, discrète quand cela se révèle nécessaire. Ayant un bon sens de l’orientation elle sait se débrouiller toute seule. La jeune femme n’accorde que très difficilement sa confiance. Mais attention, Sora n’est pas dépourvu d’émotion humaine, douce, gentille, protectrice, serviable et généreuse, elle ne l’ait qu’avec ceux qu’elle aime réellement.


Signe(s) particulier(s) : Une cicatrice dans le dos commençant du haut de son épaule gauche e s’arrêtant a la chute de ses reins encadré de deux ailes, l’une blanche et l’autre noires.

Buts : Devenir le digne successeur de son père

Arme de prédilection/Style de combat : La parole !? Les armes blanches : dague, couteau, Katana c’est parfois plus discret et efficace. Surtout quand on se dit qu’une jeune fille avec une telle bouille enfantine ne fera de mal a personne.

Devise ou citation : Le sort en est jeter.


Histoire :



Dans la salle d’attente, un homme habiller d’un costume trois pièces, les cheveux noirs, le visage inquiet tournait en rond, ses hommes debout près de lui ne disaient rien, regardant leur chef. Après une heure et demie d’attente, le médecin entra dans la salle :

"Monsieur Jumoku… Félicitation, vous avez une jolie petite fille…"
"Et ma femme ? "
"Elle va bien, elle se repose. Vous pouvez aller voir votre fille. "

Il ne se le fit pas dire deux fois. Il arriva alors devant la salle ou dormaient les bébés, une infirmière prit une petite fille dans ses bras, un petit bracelet autour de son minuscule poignet portait l’inscription Sora Jumoku. Un sourire béat se dessina sur ses lèvres de l’Oyabun lorsqu’on amena sa jolie petite fille devant lui, elle était si minuscule, elle était enfin la, elle était enfin née, il allait enfin pouvoir la tenir dans ses bras. Elle sera certes une faiblesse, mais elle était si jolie à ses yeux, que cela valait le coup n’est ce pas…



"Sora dépêche toi, si tu veux qu’on fasse la surprise à papa il faut partir maintenant ma chérie. Viens dire au revoir à grand-père. "
"J’arrive Oka-Sama…"

La jeune fille âgée de quatorze ans descendit les escaliers en vitesse. S’approcha de sa mère et son aïeul. Et déposa un baiser sonore sur sa joue après l’avoir serrer dans ces bras. Petite fille chaleureuse, faisant le bonheur de sa famille. Elle monta dans la voiture avec sa mère, après de derniers adieux. Oui bel et bien le dernier…

Sora s’était endormie, le chemin était long jusqu'à Tokyo, elle aurait préférer prendre le train, mais vue que c’était une surprise. Ce n’était pas vraiment possible. Sa tête reposait sur l’épaule de sa mère, son parfum l’entourait, elle se sentait si bien, un peu comme elle était petite et qu’elle dormait dans le lit de ses parents. C’était agréable. Un énorme choc la réveilla en sursaut, sa mère l’entoura de ses bras, un second choc, la petite fille put voir qu’une voiture essayait de les faire sortir de la route. Elle ferma les yeux, à la nouvelle collision, refermant ses bras autour de sa mère, se blottissant contre elle. Des coups de feu cette fois, heureusement la voiture était blindée, le chauffeur faisait de son mieux pour échapper à ce guette-apens. Les voitures se heurtèrent de nouveau, ils sortirent de la routes, la voiture tournait sur elle-même. Sora hurla de terreur, serrant sa mère avec force avant de s’évanouir.

"So..ra… Sora… Sora répond moi ma chérie, regarde moi…"

La jeune fille ouvrit les yeux avec difficulté, sa mère l’appelait, sa tête lui faisait mal, ca sentait le brûler, son dos aussi, son corps était tout endolorie, elle essaya de remettre de l’ordre dans ses idées, des mots incohérent franchir ses lèvres.

"Sora attrape ma main, dépêche toi… Aller ma jolie, tu peux le faire. "

Après un laps de temps, elle comprit ce que désirait sa mère, avec difficulté, sous les encouragements de la femme de l’Oyabun, elle put attraper la main de sa mère. Qui la sortie de la voiture, ignorant ses propres blessures, elle l’aida à se levé et l’emmena loin de la voiture qui n’allait pas tarder à exploser, en titubant. Sora remarqua alors la blessure béante que portait sa mère sur le flan droit. C’est avec une inquiétude croissante qu’elle demanda :

"Oka-Sama ? Est-ce que… Ca va aller ? "
"Bien sur ma chérie. Ne t’inquiète pas mon bébé. "

La femme trébucha, elles tombèrent lourdement sur le sol. Sora avait mal au dos, c’était une douleur lancinante, elle se releva malgré la douleur, se mit a genoux, et posa la tête de sa mère sur ses genoux. Les larmes lui montèrent aux yeux.

"Oka-Sama… Oka-Sama…"
"Ca va aller ma chérie, je suis si contente que tu sois en vie… Dis à ton père que je suis désolé de le laisser seul. De ne pas tenir ma promesse."
"Oka-Sama…"

La jeune fille se mit à pleurer, sa mère essayait de la rassurer, lui disant que tout se passerait bien même si elle était plus auprès d’elle. Petit à petit, sa voix devenait sourde, son regard s’éloignait, pour finir par s’éteindre. Sora resta auprès de sa mère sans bouger, regardant le visage de cette dernière. Seule la douleur de son dos, lui démontrait que ce n’était pas un cauchemar, seule la douleur lui montrait qu’elle était en vie. Elle remarqua à peine l’explosion de la voiture qui avait eut lieu, mais qui avait l’air si lointain. Elle ne sait pas combien de temps elle est restée auprès du corps avant que quelqu’un n’arrive, peu de gens empruntait cette route. Cependant lorsqu’on essaya de l’éloignée du corps inerte, So se mettait à se débattre, à frapper, griffer ces personnes qui voulaient l’emmener loin de sa mère. Iori, fut la seule personne qui avait put l’approcher et la conduire vers une ambulance pour l’emmener à l’hôpital. Elle s’était alors évanouie durant le transport.



Au collège un élève s’acharnait sur Sora, alors que la plupart l’admirer, malgré son nom. Lorsqu’elle en eut assez, elle lui demanda de venir derrière l’école dans les salles au fond de la cours, que si c’était un homme de venir seul, à la fin des cours. Ce qu’il fit, car il avait sa fierté. L’idiot…
Emotionnellement, la jeune femme était encore chamboulée par la mort de sa mère. Elle ne prit donc pas de gant avec lui, c’est à ce moment là qu’elle s’était rendu compte de sa cruauté endormie. Elle s’était acharner sur le pauvre type, après lui avoir enfoncé une paire de ciseaux dans la main, elle s’était ensuite mise à le frapper avec une batte de baseball. Elle allait passer au cutteur, lorsque l’un des hommes de son père qui l’a recherchait dans l’école, ouvrit la porte de salle. Horrifier, il l’empêcha de continuer, ce qui ne fut pas difficile, une fois découverte "le jeu" n’avait plus aucun attrait. Son père fut très surprit d’apprendre ce que So avait fait, mais beaucoup plus par l’indifférence qu’elle affichait. L’Oyabun acheta facilement le silence de la famille. Sur toute son année scolaire, la jeune fille récidiva une deux fois. Ce qui inquiéta sérieusement son père, il décida alors de prendre le taureau par les cornes et l’aidé du mieux qu’il pouvait…



A présent Sora à vingt ans, elle est étudiante en économie, dans l’optique de prendre un jour la place de son père. Elle apprit malgré le désaccord de ce dernier, à manipuler les armes et à se battre. Curieuse et espiègle, la jeune femme fouine un peu partout dans les affaires familiale, ce qui à le don d’énerver Iori. Et qui l’amuse énormément. Elle défie quelque peu l’autorité de son père, sans pour autant aller dans l’excès, tout du moins juste assez pour lui montrer qu’elle n’était plus une petite fille. Elle lui montre cependant patte blanche pour qu’il ne se rende pas compte de ses petites activités extrascolaires, concernant les affaires qui ne lui regardaient nullement. Tout du moins c’est ce que pense So.

Elle sort beaucoup le soir, même lorsque son père le lui interdit, elle se rend en boîte, au restaurant, ou juste à l’extérieure avec ces amis en semant ses gardes du corps, ou toute personne voulant la prendre en filature. Pour cela elle saute par la fenêtre. Sora n’a confiance qu’en très peu de personne, les proches de son père en font partit et dernièrement, le Shatei passer Kyodaï . Asano Hiran. Qui a protégé son père.

Inventaire :

Un paquet de cigarette, un briquet, un peu d’argent, un paquet de chewing gum, une petite lame au cas où, ces clés, sa paire de lunette, une bague ayant appartenue à sa mère, une chaine en argent avec deux petits pendentifs représentant une fleur de cerisier et un arbre.

*Pleure puis sèche ses larmes...* Validé * Snif*