Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Dunk Low
64.99 € 129.99 €
Voir le deal

 

 Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Masahiro Zokuto
shingao
Masahiro Zokuto


Nombre de messages : 177
Age : 33
Age du protagoniste : 34 ans
Date d'inscription : 01/04/2008

Identité
Rang: Témoin à charge/Cible
Yens: 30 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeMar 22 Avr - 21:27

[Oui bon, je trouve ça pas terrible, mais on va faire avec ça Wink ]

La nuit était encore présente pour le moment à l’extérieur. Par la fenêtre à barreaux d’acier trempé de sa cellule, Zokuto pouvait apercevoir quelques étoiles persistantes dans le ciel encore bien foncé. Il devait être dans les environs de six heures du matin, la nuit disparaissait finalement, pour laisser place à quelques nuages grisâtres qui couvraient l’entrée chétive du soleil en arrière fond, soleil qui dardait de ses rayons perçants et vifs tout ce qu’il pouvait atteindre. Les ombres d’allongeaient de façon carrément exagérée à l’extérieur. Même le plus petit brin d’herbe s’allongeait jusqu’à avoir une ombre de la grandeur d’un homme sur l’asphalte adjacente. En fin, pour le peu de carrés d’herbe qu’il y avait dans le coin. À Tokyo, la verdure était une chose plutôt rare, car on utilisait tout ce qui pouvait l’être. Le fait d’avoir de l’herbe sur le terrain signifiait généralement une certaine importance. Mais bon, ça ne vaut pas réellement la peine de s’attarder sur l’herbe dehors. Le ciel commençait à se dégager, alors que la ville s’éveillait un peu plus que ce qu’elle avait été pendant la nuit. Jamais cette ville ne s’endormait totalement. Au mieux, elle baissait d’un ton la nuit, et encore, il n’en fallait généralement pas beaucoup pour qu’elle arrive à égaler, voir surpasser le vacarme du jour. Une personne recherchant le calme, ne viendrait jamais s’installer à Tokyo, car elle deviendrait folle en l’espace d’une semaine.

Sur ces petites pensées personnelles, Zokuto était appuyé, de côté, sur le mur en dessous de la fenêtre par laquelle il regardait à l’extérieur. Il faisait cela tous les matins désormais. Même sans le vouloir de toute façon, son cerveau avait fini par se calculer ses heures de sommeil à la minute près. Alors qu’il s’endorme à neuf heures le soir, ou a trois heures du matin, le laps de temps avant qu’il ne se réveille restait le même. Et puis, il n’était pas dans une vraie prison, alors il pouvait dormir toute la journée s’il en aurait envie. Ce qui n’Tait pas le cas, étant donné qu’il avait passé sa vie à bouger dans tous les sens pour faire des affaires. C’était l’un des pires côtés de cette cellule bien trop ambigüe : il n’y avait absolument rien à faire. D’ordinaire, bien des gens disent cette phrase pour se justifier, mais dans ce cas-ci, il n’avait même pas besoin de se forcer pour le croire sincèrement. Il avait même été désespéré au point d’avoir le temps de relire la bible fournie qu’il avait. La seule chose qu’il en avait retenue, c’était que Dieu aimait bien faire souffrir les humains. Un dieu de miséricorde. Mais bien sûr. Et pourquoi pas la Mona Lisa avec une moustache et un mono-sourcil? Ce que les catholiques pouvaient croire comme conneries. Ils s’imaginaient réellement qu’ils iraient au paradis de leur Dieu, en priant une fois tous les ans a Noel, en allant aux enterrements et aux baptêmes, et en restant sur leur derrière pour ne pas commettre d’acte répréhensible? Soit ils étaient totalement stupides, soit un peu trop crédules, ou soit les deux en même temps. Mais ce qui importait réellement à Zokuto en ce moment précis, c’était de savoir si finalement, il allait finir par voir le bout du tunnel. Même si c’était pour voir une balle lui arriver en plein front, mais au moins, arrêter de tourner en rond comme une bête sauvage qui attend de se faire envoyer sa nourriture pendant que les visiteurs payants regardent en riant. Déjà après les trois premiers jours, il en avait marre de cet endroit. Alors quelques semaines plus tard, imaginez de quoi pouvait avoir l’air sa façon de penser! Laissez une bolognaise dans votre maison à l’air pendant un mois, et voilà votre réponse.

Quoiqu’il en soit, Zokuto continua de s’égarer dans ses pensées, alors qu’il regardait la matinée terminer de se lever par la fenêtre. Il plissa légèrement les yeux lorsque ces derniers furent heurtés par un rayon flamboyant, puis il se détourna de la fenêtre. L’ex-Yakuza regarda une fois de plus l’allure de sa cellule. Il en avait marre de se le répéter, ça aussi. C’était un endroit de merde, et il méritait bien mieux, comme témoin à charge. Mais bon, quitte à choisir entre cette cellule et survivre, et une maison spacieuse en se prenant une balle au moment ou tu passes devant une fenêtre, le choix se fait rapidement. Le problème, c’est justement que le choix ramène à la même situation.


*Comme si on pouvait appeler ça un choix. Autant demander de choisir entre des prix en argent et un coup de club de golf au visage*

Zokuto soupira. Il devait bien soupirer de cette façon une vingtaine de fois par jour à force de refaire le tour mentalement de sa situation actuelle, faute d’avoir quelque chose de réellement intéressant à faire. IL avait bien essayé d’innover d’une façon ou d’une autre, mais dans une cellule ou on bannit tout objet coupant, contondant-dangereux ou à potentiel dangereux, qu’est-ce que vous voulez pouvoir innover. Faire des avions en papier et de l’origami avec les pages de la bible? Très honnêtement, il l’avait essayé. Mais ça devenait un peu énervant de voir Saint-Jean faire son discours sur le papier pendant le pliage. Il avait également essayé d’apprivoiser les rats de la cellul pendant une bonne semaine. Mais dès le jour où il avait cessé de leur donner des miettes, curieusement, ils ne s’étaient plus intéressés à lui une seule seconde. Et retour à la case départ.

Zokuto replaça doucement son bras invalide sur son ‘’support’’, comme il avait l’habitude de le faire, puis il fit quelques pas sur le sol sale de la cellule. Il jeta un dernier coup d’œil à la fenêtre de sa cellule, puis il avança jusqu’à être en face de son lit métallique. Un bref moment d’indécision, à chercher quoi faire, qu’il n’aurait pas déjà essayé. Mais il fut sauvé par un son familier, même s’il ne l’entendait pas vraiment souvent : la porte de l’étage principal du commissariat. Étant donné que les gardes ne rentreraient pas au boulot avant au moins une heure au minimum, c’était forcément quelqu’un d’autre qui venait lui rendre visite. De toute façon, il était la seule raison pour que quelqu’un du commissariat vienne par cette porte. Mais à cette heure? Voilà qui était assez intriguant pour piquer sa curiosité à vif. Enfin une chose qui le stimulait.


’’Qui me fait l’honneur d’une visite si matinale?’’

Tout en parlant, Zokuto se déplaça vers le petit bureau dont il disposait dans sa cellule. Il était debout depuis plus d’une heure, il avait bien envie de s’asseoir, maintenant. Il se pencha, et alla se poser sur le siège de base qui lui était fourni de paire avec le bureau. Il tourna néanmoins la chaise d’un quart de tour pour pouvoir regarder aisément qui se présenterait devant les grilles. La surprise du jour restait encore à arriver. Voyons voir la suite, maintenant…
Revenir en haut Aller en bas
http://battle-for-bijuu.forums-actifs.com
Zenigata Mawari
Peace Maker
Zenigata Mawari


Nombre de messages : 219
Date d'inscription : 12/04/2008

Identité
Rang: Policier
Yens: 350 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeMer 23 Avr - 19:34

Mawari s’était levé tôt se jour là, Pour une fois elle n’avait pas vidé son stock de bière dans son frigo et s’est réveillée sans migraine.

Mais la journée se présentait comme ennuyeuse…Cela arrivait souvent, la circulation était bien souvent « trop » ordonné au goût de la policière, bien que faire régné l’ordre est son but… le revere de la médaille était que à trop bien faire son boulot elle n’avait plus rien à faire, surtout à Shinjuku où sa réputation n’était plus à faire. En effet son surnom de Peace Maker n’était pas là pour faire jolie, Mawari savait qu’elle devait mettre un frein à sa soif de justice… Elle avait décidé de changer et d’avoir un nouveau regard sur le monde, chose pas facile.

Vers la fin de matinée, la policière rentra a l’hôtel de ville, chose normal après avoir fini son service plus tôt ce jour ci. Quelques rumeurs couraient sur le scellé appliqué sur un des niveau du bâtiment… Jusqu'à ce qu’elle surprenne une conversation des plus inhabituelles.


Officier 1 : Hey hey, tu savais qu’on ne pouvait plus accéder aux cellules du niveau 3 ?

Officier 2 : Non, pas du tout… Mais pourquoi donc ?

Officier 1 : Justement, personne ne sait.

Officier 2 : Sûrement un coup du commissaire… Ou d’une tout autre instance.

Officier 1 : Ouai et ben je me demande où on va placer les prévenues en attendant…

Officier 2 : Faudra juste innover.

Après avoir prêté une oreille attentive à cette conversation peu importante vers la fin, Mawari dont la curiosité ne peut être comparée qu’au sommet du mont Fuji a été attisé par cette histoire.

« Que peut bien cacher le niveau 3 ? »

Sûrement des choses dont elle ne devait rien savoir, mais c’est plus fort qu’elle. Mawari allait au devant des problèmes encore une fois, mais au moins elle saurait ce que son boss cache.

Après de longue minute d’hésitation, la policière se décida à pénétré le niveau interdit de l’hôtel de ville. Une dizaine de minute plus tard elle se retrouva face aux gardes qui surveillent les portes de l’aile sud, et bien sûr l’on ne la laissa pas passé… Obligé de jouer la carte du charme, Mawari n’eu d’autre choix que de promettre un rendez-vous avec quelques copines de service et allongé 100 000 yens pour qu’is la laissent bien passé.

Après quelques secondes d’hésitation les deux gardes furent charmés par la moue aguicheuse de la policière, bien sûr ils lui donnèrent un temps impartie.

Top chrono elle a 30 minutes pour savoir se qui trame la dedans… Plus elle avançait et plus elle trouvait cela bizarre, aucun prisonnier dans les cellules. Jusqu'à ce qu’elle entende une voix, Mawari avança jusqu'à la cellule d’où venait la voix. Surprise un vieux adossé à un siège lui fait face à travers les barreaux.

Elle ne put s’empêcher de dire.


« T’es qui toi? »

Cet homme devait être un invité spécial pour que tout un niveau soit disponible pour sa seule personne.
Revenir en haut Aller en bas
Masahiro Zokuto
shingao
Masahiro Zokuto


Nombre de messages : 177
Age : 33
Age du protagoniste : 34 ans
Date d'inscription : 01/04/2008

Identité
Rang: Témoin à charge/Cible
Yens: 30 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeMer 23 Avr - 21:23

Les bruits de pas semblaient prendre du temps à arriver, comme si la personne à qui ils appartenaient prenait tout son temps pour parcourir. Encore ce commissaire? Non, cette fois-ci, les pas étaient bien trop légers. Zokuto ferma les yeux. Les froissements de vêtements non plus ne correspondaient pas à la texture de vêtements de ce Batou. Lui, il portait son complet relativement ordinaire pourtant, une sorte de grand costume fait sur mesure pour sa charpente d’épaules relativement large. Ainsi, il ne fallait même pas une mémoire bien exceptionnelle pour se rappeler jusqu’au son des vêtements. Et le froissement qu’il entendait approcher en ce moment n’était pas celui de Batou, le commissaire de police. C’était le son caractéristique des vêtements standards de police. Une personne de la maison venait dans son coin, et elle portait l’uniforme de police standard. Le son de ses pas laissait présager soit une femme de taille moyenne, ou bien un homme relativement mince et subtil. Tout peut se décrire, simplement dans les sons. Et l’analyse était justement l’un des points les plus forts de Zokuto. C’était justement avec ce talent qu’il avait entretenu sa carrière auparavant. Et il avait fourni des capacités bien suffisantes pour la conserver intacte, cette carrière… jusqu’à ce que son téléphone sonne sur la mauvaise personne.

Finalement, alors qu’il rouvrait les yeux pour regarder vers les grilles, la personne en question arriva devant sa cellule, et elle s’arrêta. Il avait vu juste, il avait une jeune femme devant les yeux, à la taille et corpulence moyennes, quoique dotée de courbes relativement…… hum. Disons intéressantes, pour conserver un langage convenable. Mais inutile de s’attarder sur ce genre de choses, de toutes façons. Relevant les yeux de quelques degrés, Zokuto fixa en silence le visage de la jeune policière. Il s’adonnait une fois de plus à son petit jeu favori : l’analyse. Une peau relativement bien entretenue représentait une façon de penser lui disant de veiller à présenter une image acceptable en public, probablement pour se donner une bonne image en tant que gardienne de l’ordre. La chevelure représentant également une certaine façon de montrer une belle tête en général, il remonta son attention un bref instant sur le tout, uniquement pour constater leur état acceptable. Lavés, peignés, et tout. Le visage, quand à lui, révèle une quantité effroyable d’informations dans une simple expression. Par exemple, la façon de montrer une expression de surprise. Un visage bien évidemment étiré par une émotion soudaine, mais qui conserve cependant une bonne partie de sérieux malgré tout, dans le cas présent. Donc, une personne qui se prend plutôt au sérieux dans ce qu’elle entreprend et ce qu’elle fait. Ce genre de personne évitait de mentir, excepté lorsque la situation l’exige, ils font preuve d’un respect relativement élevé envers la loi, spécialement lorsqu’ils représentent la loi comme cette jeune femme en question. Généralement dotés d’un parler franc, ils ne mâchent pas leurs mots, ne font pas de détours et s’attaquent directement au problème en mordant dedans à pleines dents pour s’assurer de ne pas le lâcher. Dans un sens, c’était ce type de personne que Zokuto aimait bien avoir face à lui lors de ses négociations. Ces personnes sont bien souvent trop esclaves de leurs impulsions, et en plus, lorsqu’elles sont relativement jeunes, ou juste quelque peu moins expérimentées, elles se laissent encore plus aller sur le chemin que leur montre leurs inhibitions. Ce qui représente un aspect facilement manipulable.

Finalement, Zokuto eut sa réponse, qui confirma rapidement ses théories lorsque la voix de la jeune fille s’éleva. Elle venait probablement de le détailler sommairement elle aussi, à en juger par son immobilité des cinq dernières secondes. Et è en juger par la façon dont elle le regardait, elle ignorait totalement ce qu’il était, qui il était, et ce qu’il faisait, seul dans une section entière du commissariat.


« T’es qui toi? »

Effectivement, il avait bien raison. Cette fille n’avait aucune idée qu’elle parlait à un Yakuza. Logiquement, elle ne pouvait être passée devant les gardes sans qu’ils ne la remarquent. Ils avaient beau être de vrais crétins bourrés, ils n’étaient pas aveugles, et ils savaient au moins faire la base de leur travail, c'est-à-dire veiller à enregistrer tous ceux qui passaient devant eux. Et comme cette file semblait être une policière normale, sans plus, aucune promotion ou position quelconque qui la mettrait en position d’autorité face aux gardiens, elle était probablement arrivée jusqu’ici en jouant la carte de la subtilité. Probablement le petit regard doux, avec quelques billets sous la table, et hop, on laisse passer comme dans un moulin. Mais bon. Après tout, Zokuto était même surpris qu’il n’y ait eu personne auparavant d’arrivé à l’improviste. La seule personne à le visiter de temps à autres, c’était le commissaire, et la seule fois où il était accompagné, c’était par le procureur qui devrait veiller à lui expliquer le bon déroulement du procès en cours d’organisation où il aurait à témoigner. Comme s’il ne savait pas comment fonctionnait un tribunal. Il n’avait pas tardé à envoyer paître l’avocat, en allant même jusqu’à lui sortir ses droits en détail, dans le moindre alinéa de section, pour laisser ce dernier muet. Un prisonnier qui savait mieux ses droits que l’avocat qui venait le voir. Un beau petit phénomène. Mais bon. Maintenant, ça n’était pas un avocat en costard-cravate qui se trouvait devant lui. C’était une policière fouineuse et incognito dans le secteur qu’il voyait.

Zokuto attendit encore l’espace d’un moment, détaillant une dernière seconde la jeune femme. Puis, il releva les yeux pour les fixer dans ceux de cette dernière. Alors que ceux de la policière reflétaient sa curiosité évidente et légèrement pressée, les yeux de Zokuto représentaient le calme complet, qu’il conservait envers tout le monde, excepté le commissaire. Il ignorait pourquoi, mais c’était fou ce que ce type avait comme don de lui faire perdre ses ressources. Il n’en revenait toujours pas. Mais bon. Zokuto s’humecta les lèvres, puis forma un demi-sourire.


’’En général, on se présente avant de demander le nom d’une personne, non ?’’

Il ne jugea pas nécessaire de dire un mot de plus. Maintenant, il n’était pas en face d’un quintagénaire corpulent qui le tenait dans le creux de sa main. Il avait devant lui une fille qui faisait son petit numéro de policière chevronnée venue en douce inspecter un secteur fermé du commissariat par curiosité mal placée, si l’on se fie aux règlements de police. C’était un autre truc qu’il avait bien étudié. Si on veut comprendre le fonctionnement d’un ennemi, il faut avoir les bonnes ressources. C’était pour cela que c’était utile d’avoir une taupe pour les renseigner dans ce domaine. Il avait ainsi apprit bien des choses intéressantes sur les méthodes de travail de la police en général. C’était vraiment très instructif. Mais encore là, pas vraiment besoin d’une grande perspicacité, ni d’une connaissance approfondie, pour savoir que lorsqu’une section d’un commissariat était fermé et interdit d’accès, il était peu courant de voir des officiers et officières dans le coin. Donc, il devait garder en tête qu’à tout moment, un officier supérieur pouvait débarquer et prendre la petite policière en plein délit. Comme ça serait intéressant…
Revenir en haut Aller en bas
http://battle-for-bijuu.forums-actifs.com
Zenigata Mawari
Peace Maker
Zenigata Mawari


Nombre de messages : 219
Date d'inscription : 12/04/2008

Identité
Rang: Policier
Yens: 350 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeSam 26 Avr - 12:08

Il lui avait répondu avec un tel tact, qu’elle en fut énerver… Mawari le détestait déjà. Un air austère et défiant, le dit prisonnier commençait mal.

« En général, celui qui se trouve derrière les barreaux, n’a pas à connaître le nom du flic, non ? »

Dans tous les scénarios possibles le prévenu n’a pas à connaître l’identité de celui qui l’interroge, sauf s’il se retrouve devant un juge, ou a été arrêté par l’agent lui même. Bordel, mais pour qu’il se prenait-il ce vieux ? Masahiro commençais décidément très mal la conversation avec la tête brûlé qu’est Mawari…

« Tu te crois malin en me prenant de haut ? Ossân. »

Franchement, comme si les choses n’allait pas déjà mal. La policière savait que si on découvrait elle devra sûrement rendre des comptes au commissaire ou pire viré. Cependant elle veut savoir ce que fait cet homme ici, quel est le but de son emprisonnement et surtout qui il est.

Il y a quatre choses qu’il fallait savoir avec Mawari, un : Elle ne tient compte d’aucun règlement, deux : Qu’elle est d’une extrême curiosité, trois : Mawari aime faire souffrir les criminels pour une raison inconnu (sadique la fille), quatre : Qu’elle peut faire usage de la force à n’importe quel moment. Le prisonnier avait de la chance de se trouver de l’autre côté des barreaux, clair que maintenant elle devait la jouer fine.

Mawari s’adressa de nouveau à Zokuto.


« Alors qu’est-ce que tu glande ici, ôssan ? Je ne serais pas étonné que tu es fait un grand coup, vue toutes les précautions mis en place. »
Revenir en haut Aller en bas
Masahiro Zokuto
shingao
Masahiro Zokuto


Nombre de messages : 177
Age : 33
Age du protagoniste : 34 ans
Date d'inscription : 01/04/2008

Identité
Rang: Témoin à charge/Cible
Yens: 30 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeDim 4 Mai - 20:57

[Bon, hem, c’est plutôt nul, mais bon, ce sera ça tant que je serai bloqué dans une cellule scratch Et désolé du retard, hein, semaine d’examens =/]

Zokuto écouta la policière débiter ses trucs alors qu’elle avait bien l’air de prendre les nerfs. Eh bien, elle n’aimait pas qu’on lui parle sur un ton autre que respectueux? Visiblement non, car à la vitesse où ça allait, la situation ne donnerait rien d’autre que du n’importe quoi à n’en plus finir. Et s’il y avait bien une chose que Zokuto n’avait vraiment, mais alors là vraiment pas envie de se rajouter, c’était encore et encore des ennuis. La merde des scénarios foireux, merci, il avait eu sa dose.

Zokuto se releva de sa chaise alors que Mawari posa sa dernière question. Elle lui avait laissé un temps de repos entre ses deux dernières phrases, alors il en avait déduit qu’elle voulait qu’il dise quelque chose. Mais il souhaitait éviter autant que possible d’en dire à n’importe qui. Car après tout, il était peut-être bien un yakuza coffré et enfermé à double tour en attendant le procès contre son ex-Oyabun – souvenir plutôt douloureux à évoquer - , il voulait essayer d’éviter d’en parler un peu trop fort à n’importe qui, si possible. Zokuto tourna la tête vers Mawari, la jaugeant du regard l’espace d’un instant alors qu’il prenait appui sur le mur à côté de son lit. Il leva son bras valide, et gratta négligemment l’arrière de sa tête et jetant toujours un regard critique sur la policière.


’’Masahiro Zokuto.’’

Zokuto expira bruyamment après avoir dévoilé son nom. Il aurait peut-être fait mieux de donner un faux nom, en fin de compte. Ça aurait pu épargner des problèmes, autant à lui qu’à elle. Mais bon, depuis quand est-ce qu’il se souciait de ce qui pouvait arriver aux autres, hein ? Après tout, si elle en savait plus, ce qu’elle essaierait probablement de faire, ça ne ferait que lui faire plus de temps à lui de libre pendant qu’elle se faisait chopper et interroger à son tour. Il en sortait gagnant. Zokuto fixa la fenêtre à côté de lui un moment, réfléchissant à ce qu’il serait préférable de faire. Finalement, il opta pour la solution la plus avantageuse pour lui.

Le Yakuza se retourna encore une fois vers Mawari, puis se redressa pour s’enlever du mur sur lequel il était appuyé. Il fit quelques pas lents et loin d’être pressés vers les barreaux, près desquels se trouvait la policière, puis il se pencha lentement en arrivant à proximité des barres de fer, amenant presque son visage à s’y appuyer. Il fixa le regard de Mawari un instant, puis ses lèvres s’ouvrirent de nouveau.


’’Et pour ce qui est des précautions… si on peut appeler ces gros soulards influençables, là bas dans le bureau, comme une précaution…

Zokuto tourna doucement les yeux vers ce qu’il pouvait voir, mais surtout entendre, du bureau où les deux habituels crétins regardaient la télévision sur le bureau. Ils étaient décidément de vrais crétins, difficile de croire qu’ils avaient vraiment réussi les tests d’entrée. Le Yakuza reporta son attention sur la policière.

’’Ils sont là pour empêcher les gens… non-autorisés… de passer par mon bout de cellule. Parce que à la minute où je sortirai d’ici, ou encore le jour ou un des Yakuza du clan qui veut ma peau arrivera à se ramener aussi loin…’’

Zokuto se redressa, s’éloignant légèrement des barreaux, et leva la main de son bras valide vers sa tête, lui faisant prendre l’aspect d’une arme à feu improvisée. Puis, il mima un coup de feu silencieux, faisant un court jeu d’acteur équipé d’une balle dans le crâne. Le bras retomba, et Zokuto estima avoir assez bien résumé la situation pour être clair. Restait maintenant à voir comment réagirait la petite policière bouillante.
Revenir en haut Aller en bas
http://battle-for-bijuu.forums-actifs.com
Zenigata Mawari
Peace Maker
Zenigata Mawari


Nombre de messages : 219
Date d'inscription : 12/04/2008

Identité
Rang: Policier
Yens: 350 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeLun 5 Mai - 10:22

[Je le trouve très bien ce post^^]

Mawari, ne pensait pas qu’elle aurait affaire à un tel invité… Si elle avait bien compris ce Masahiro est sous une sorte de protection policière. Intéressant tout ça, pourquoi le boss n’a pas prévenu les autres tarlouse dans le commissariat ? La policière se posait des questions. Pourquoi cacher un prisonnier dans un niveau abandonné gardé par deux bons à rien qui se font facilement embobiné par une belle paire de seins.

« D’accord Masahiro-san, c’est ça ? Pourquoi on en voudrait à ta vieille peau ? »

En effet ce vieux n’avait pas l’air très dangereux. Mawari remarqua comment Zokuto se tenait, comment un homme avec un bras invalide pourrait avoir commis quelque chose de répréhensible ? Malheureusement Mawari n’était le genre de personne à s’attarder sur les apparences.

Elle décida d’approfondir ces questions.


« Non, attend je vais mieux m’exprimé… Pour qu’elle raison t’a-ton enfermé dans ces lieux ? Aller fait pas la gueule et raconte moi tout. »

Plus que 25 minutes… Mawari ne voyait pas le temps filé, c’était chiant d’avoir aussi peut de temps. Normalement un interrogatoire se devait de pouvoir duré, faire craquer le prévenu sous la pression en laissant le temps faire le travail à sa place. Mais Masahiro semblait ne pas être du tout gêné.

« Tu as bien dû chanter comme un rossignol pour te retrouver dans cette position… Sa ne te coûte rien de tout me raconté à moi maintenant. »

Mawari recula et s’adossa au mur, en croisant les bras. Regardant avec insistance le prisonnier. Mais coopérerait-il ? Ca elle le saura dans les secondes qui suivront, après tout se ramener avec ces gros sabots dans une prison et discuté avec une inconnue le plus simplement du monde pouvait paraître déroutant. Mais quelques choses disait que l’homme n’avait pas souvent de visite alors bon il s’accommoderait sûrement de l’air taciturne de la petite policière.

« Tu sais je n’ai pas beaucoup de temps tu devrais te dépêcher. » Elle dit ça en affichant un visage des embêté en regardant les bras croisé sa montre placé sur sont poignet gauche.
Revenir en haut Aller en bas
Masahiro Zokuto
shingao
Masahiro Zokuto


Nombre de messages : 177
Age : 33
Age du protagoniste : 34 ans
Date d'inscription : 01/04/2008

Identité
Rang: Témoin à charge/Cible
Yens: 30 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeMar 6 Mai - 19:45

Visiblement, cette petite policière n’avait pas l’intention de répondre à sa première question, qui avait été de lui renvoyer la question du nom. Qu’à cela ne tienne, il s’en passerait bien, de ce petit nom. C’était toujours utile à savoir, mais bon… La policière avait davantage l’air de s’intéresser aux raisons de sa présence ici, et c’était compréhensible. En résumant la situation, elle n’avait pas à être ici, vu l’air pressé qu’elle affichait, et elle voulait en savoir plus. Mais Zokuto, lui, avait tout son temps. Après tout, cela faisait déjà plusieurs semaines qu’il trainait dans cette cellule, à tel point qu’Il avait presque fini par s’y habituer. Ça ferait presque peur.

La jeune femme parla de nouveau, à l’aide de sa voix qui résonnait d’une impatience plus que vibrante. Elle lui demanda une fois de plus ce qu’il faisait ici. Décidément, elle n’avait que ça en tête. Il la vit le détailler un moment, mais il ne s’en occupa pas vraiment. Rien à faire de ce que les autres pensent de son allure, il la connaissait déjà, la rengaine sur le petit invalide. Le regard de Mawari s’arrêta finalement de détailler pour revenir sur son propre regard, et sa voix perça encore une fois. Elle semblait voir la nécessité de faire qu’il comprenne mieux sa question. Comme s’il n’avait pas déjà compris. Elle le prenait pour un demeuré, ou quoi? En tout cas, de son côté, elle n’avait pas la langue dans sa poche. ET il ne faisait pas la gueule, il n’était simplement pas pressé, lui. Il serait probablement en train de dormir ou de glander sur un bouquin des années 80 si elle n’était pas arrivée. Alors finalement, il allait bien devoir la supporter, faute de pouvoir faire quoi que ce soit d’autre. De toute façon, c’était évident qu’elle voulait des réponses.

Par la suite, la phrase que Mawari prononça arracha un petit rire à Zokuto. Chanter comme un rossignol. Plutôt une grosse corneille. Il était venu trahir un clan entier de Yakuza, pas dénoncer un dealer de drogue connu dans les ruelles d’un quartier pourri. Ça ne confirmait qu’une chose : elle le prenait vraiment pour un guignol. Et dans sa situation présente, elle n’avait pas tout à fait tord.

La voix de Mawari s’éleva une dernière fois, et il releva la tête, pour la voir, appuyée sur le mur, jetant un coup d’œil à sa montre en signalant que le temps lui était compté. Et alors? Zokuto se retint de bailler de justesse, pour ne pas pousser le ridicule un peu trop loin, puis sa main valide se leva de nouveau dans les airs pour aller gratter lentement l’arrière de sa tête alors qu’il fermait à moitié les yeux. Il ramena son regard sur Mawari, un sourire aux lèvres.


’’Vous savez, le genre d’information que vous demandez, c’est plus poussé, ça se mérite. S’il fallait que j’aie dit tout ce que je sais à tous ceux et celles qui passent, je serait déjà mort et enterré.''


Il posa la main dans son dos, qui émit un son de craquement alors que Zokuto s’étirait brièvement. Par la suite, il alla doucement vers la chaise, et se replaça dessus avec lenteur, lâchant un soupir en s’asseyant. Il s’appuya sur le dossier, et reporta son attention sur Mawari, passant brièvement la main sur son menton pour éteindre la démangeaison que lui posait le début de barbe qu’il n’avait pas pensé à raser le matin même. Ses yeux détaillèrent Mawari une seconde fois depuis le début, et le sourire du yakuza s’élargit doucement. Il pouvait bien tenter de s’amuser un peu, quitte à avoir une petite policière impatiente disponible.

’’Vous savez que vous êtes plutôt mignonne dans votre genre… Vous devez bien avoir un moyen de mériter les informations que vous voulez, non?’’


Zokuto posa son coude sur la table à côté de la chaise, et appuya le côté de son visage sur son poing fermé dans les airs. Un sourire parcourait son visage, alors qu’il attendait de voir la suite. Il allait bien constater jusque où la petite policière était prête à aller pour repartir avec ce qu’elle voulait.
Revenir en haut Aller en bas
http://battle-for-bijuu.forums-actifs.com
Zenigata Mawari
Peace Maker
Zenigata Mawari


Nombre de messages : 219
Date d'inscription : 12/04/2008

Identité
Rang: Policier
Yens: 350 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeMer 7 Mai - 16:53

Elle voyait très nettement ce qu’il pensait par « mérité » les informations. Cet homme venait de posé son regard lubrique sur sa personne… Mawari n’était pas du genre à céder à ce genre de chantage.

Néanmoins la curiosité maladive de la jeune policière pouvait lui faire faire des folies comme cette autre fois où elle avait dû faire un peu de danse exotique. La policière voulait effacer cet épisodes de sa vie, enfin comme ont dit le passé s’amuse à ressurgir au moment les plus inopportun.

Ce Masahiro ne semblait pas être quelqu’un que Mawari pourrait menacer avec de simple parole et encore moins par la force et surtout elle n’avait pas les clés de sa cellule… Mawari rêverait de pouvoir écarter les barreaux et faire ravaler ce que venait de dire le prisonnier…


« J’ai déjà cassé la mâchoire à des connards dans ton genre pour moins que ça tu sais. »

La colère s’empara d’elle, mais rien aucun mal ne pouvait être fait à ce vieux… Bien calé au fond dans sa cellule, il devait bien se sentir en sécurité. Mawari réfléchit quelque seconde un air renfrogné sur le visage et la tête en l’air. Elle percuta que si elle faisait du mal au prisonnier les hautes instances qui l’ont placé ici sauraient forcément que quelqu’un était passé lui rendre une petite visite.

Décidément ce n’était pas son jour… Quoiqu’elle avait un moyen de faire que le Zokuto lui parle. Elle devait abandonner sa petite fierté de femme forte et laissé libre recours à sa fantaisie à présent.

Mawari regarda Zokuto alors que celui ci la défiait du regard. Elle le regardait lui et son air satisfait qu’elle peu facilement lui enlever avec un bon poing dans la gueule…. Les yeux luisant de colère elle se retourna brusquement et alors qu’elle faisait mine de se retiré elle commença à défaire sa chemise.

Chemise entrouverte qui laissait apparaître sa poitrine voluptueuse dont à présent le seul rempart n’était que sont soutient gorge décorés de dentelles.


« Alors avec ça, tu parlera peut-être ? »

C’est alors que débuta une danse des plus sensuelles, devant les barreaux de la cellule de Masahiro Zokuto.
Revenir en haut Aller en bas
Masahiro Zokuto
shingao
Masahiro Zokuto


Nombre de messages : 177
Age : 33
Age du protagoniste : 34 ans
Date d'inscription : 01/04/2008

Identité
Rang: Témoin à charge/Cible
Yens: 30 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeMar 13 Mai - 5:44

[J'ai l'impression que ce post avance pas à grand chose scratch Mais bon, le rôle te revient de faire avancer tongue]

Masahiro releva un sourcil avec un sourire quelque peu amusé alors que la policière semblait prendre relativement mal ce qu’il venait de dire. Visiblement, elle était loin d’apprécier ses petites allusions aussi subtiles qu’un éléphant dans un corridor. Mais après tout, de tels commentaires n’étaient pas vraiment faits pour être appréciés, il fallait dire. Ils avaient pour but de faire enrager les gens, les pousser dans leurs retranchements pour ne pas craquer, ne pas céder à la colère. C’était un petit jeu qui avait toujours amusé Zokuto. Relevant les yeux vers le visage de Mawari, il la vit crisper les lèvres pour lâcher une brève phrase, comme un avertissement. Normalement, elle lui aurait déjà mis son poing en pleine figure. Oui, ça il s’en doutait. Mais ils n’étaient pas ‘’normalement’’ : il était un prisonnier, protégé par des barreaux, et un témoin à charge confidentiel, qui plus est. S’il lui manquait ne serait-ce qu’une seule dent, il n’aurait qu’à signaler la petite visite de courtoisie de la policière, et l’affaire serait réglée.

Sans trop se soucier des menaces à peine voilées, si ce n’est pas voilées du tout de la policière, Zokuto passa la main à l’une de ses épaules, qu’il gratta brièvement. Il ne souhaitait pas dire un mot de plus, c’était inutile. De toutes façons, il ne voyait pas vraiment ce qu’il pouvait dire de plus. Il attendit donc, pour finalement voir la policière entamer son départ avec un mouvement brusque de colère. Tant pis pour elle. Zokuto allait se relever pour retourner à sa fenêtre, lorsqu’un mouvement de Mawari attira son attention. Elle… elle déboutonnait sa chemise? Le sourcil de Zokuto se releva lentement, alors que la jeune femme se ramenait vers les barreaux, ouvrant lentement sa chemise pour laisser voir les formes relativement bien faites qu’elle possédait, désormais uniquement retenues par un soutient gorge des plus aguicheurs. Et ça se disait représentante de l’ordre avec ces dessous-là? Eh bien…


« Alors avec ça, tu parlera peut-être ? »

Alors qu’elle terminait de parler, Mawari entama lentement une danse improvisée, mais bien captivante, contre les barreaux de la cellule. Zokuto resta immobile l’espace d’un instant. C’était bien la première fois qu’il voyait un agent de la paix arriver à ce genre de choses, même chez les agents corrompus. Mais qui était cette policière, pour faire ce genre de chose à l’improviste, en plein dans un commissariat où elle travaillait ? Zokuto regarda les mouvements fluides s’enchaîner avec le corps de Mawari, pour finalement lentement ouvrir les lèvres et prendre la parole.

’’Je vous tire mon chapeau… Ça, pour mériter….. vous le méritez.’’


Il s’interrompit un moment pour regarde encore un coup. Il fallait dire que depuis le temps où il était ici sans une seule compagnie féminine depuis le tout début, il avait bien le droit d’apprécier ce genre de choses maintenant qu’il l’avait devant lui. Mais il tâcha de ne pas trop s’attarder. Révéler une faiblesse n’est jamais une chose à faire.

’’Mais tout dépends du niveau d’informations que vous voulez.’’


Il lança un nouveau sourire moqueur en disant ces mots. Il s’agissait là d’un dernier test d’efficacité : ou elle voudrait le massacrer, ou elle ravalerait sa fierté une fois de plus. Restait à voir la suite.
Revenir en haut Aller en bas
http://battle-for-bijuu.forums-actifs.com
Zenigata Mawari
Peace Maker
Zenigata Mawari


Nombre de messages : 219
Date d'inscription : 12/04/2008

Identité
Rang: Policier
Yens: 350 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeVen 16 Mai - 21:26

Aux mots de Zokuto, la jupe de Mawari glissa sur ces jambes pour tomber net sur le sol. Elle lui jeta un regard des plus intenses, signifiant sa détermination. A présent en porte jarretelle et guêpière, Mawari fera de son mieux pour arriver à son but. La policière se mordilla la lèvre, le contacte glacé de sa poitrine sur les barreaux était des plus agréable selon elle.

« Je veux tout savoir… »

Répondit-elle avec une voix des plus mielleuses.

Mawari, sait comment s’y prendre avec les vieux porcs, ou plus précisément les mecs en manque. Bien sûr il n’était pas difficile de faire parlé un homme avec un corps comme celui de Mawari, grâce à cela elle à pu régler pas mal de problème. Pendant ce temps Mawari avant cesser de dansé pour retiré de ces la jupe de ces pieds pour ne pas être gêné dans ces mouvements.


« Alors Zo-kun… Qu’a tu as me dire ? Je suis ouverte à tout… » Mawari fit en sorte que son pied gauche prenne appui sur un des barreaux horizontale et écarta ces jambes… De ce fait il était possible d’apercevoir l’entre-jambe de la policière.

ÔMawari-san ne s’arrêta pas là… Elle fit en sorte de retiré sa chemise, découvrant ces épaules étroites.


« Je voudrais vraiment que tu délie ta langue… »

Les mains de la policière glissière sur sa poitrine caché par se soutien-gorge qui semblait valoir assez cher d’ailleurs… Et le coup final pour les yeux du prisonnier furent qu’elle se malaxa la poitrine des plus sensuellement et émis des petits gémissements.

Elle espérait franchement que se petit spectacle suffirait à apaisé l’appétit de Masahiro et qu’il est envie de chanté comme jamais.
Revenir en haut Aller en bas
Masahiro Zokuto
shingao
Masahiro Zokuto


Nombre de messages : 177
Age : 33
Age du protagoniste : 34 ans
Date d'inscription : 01/04/2008

Identité
Rang: Témoin à charge/Cible
Yens: 30 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeVen 27 Juin - 20:39

[Bon, j'ai aucune excuse qui puisse être plausible, lapide moi fort >,< J'espère seulement que toi et Dieu (non Ishi, pas toi) pourrez me pardonner d'avoir autant foiré, d'une façon ou d'une autre =_=']

La situation était en train de devenir légèrement osée dans le cas présent, à ce que Zokuto pouvait voir. Il n’était pas rare, en tant qu’ancien membre d’une mafia organisée, qu’il ait eu l’occasion de voir ce genre de tentatives de corruption ou d’extorsion quelque peu subtile de la part de jeunes filles dites ‘’dévergondées’’ qui servaient en fait d’agentes cachées d’organisations sous couvert, mais il n’avait décidément jamais vu ce genre de choses dans un environnement rempli de policiers. Faire ce genre de choses, en plein milieu d’un sous sol de commissariat, et avec deux gardes dans les environs qui pouvaient arriver à tout moment pour découvrir une officière en petite tenue, en train de se frotter contre les barreaux d’une cellule? C’était un concept qui amusait et allait presque choquer Zokuto, le tout au même moment. Mais au bout d’un moment, ce fut l’amusement qui prit possession en majeure partie des pensées de l’invalide. Dans sa situation actuelle, il n’avait effectivement rien à faire, dans le sens propre du terme, et la compagnie féminine était une chose qu’il n’avait pas eu le loisir d’avoir depuis un bon moment. Et maintenant, une policière au corps comme on en voit pas tous les jours venait se déshabiller devant lui de façon relativement explicite, le tout pour avoir des informations sur les raisons de sa captivité. Il faut dire que de son point de vue personnel, Zokuto aurait été bien plus prompt à répondre à un interrogatoire de ce genre, que la salle insonorisée, avec gardiens de sécurité et lampe ronde au plafond, comme on en voit constamment dans les belles séries policières dignes de ce nom.

Zokuto se passa lentement la main dans les cheveux, alors qu’il veillait à conserver un certain contrôle au milieu des miaulements et des gémissements de Mawari. Que ce soit ou non de la comédie, cette fille arrivait à donner à cette scène un réalisme digne d’éloges. Elle aurait pu facilement faire semblant, mais peut-être sentait-elle une certaine excitation la gagner alors qu’elle était pressée par un manque de temps évident, en plus de la peur d’être prise sur le fait? Ce genre de choses augmentait de façon significative la sensibilité et les émotions personnelles. Zokuto se leva finalement, un léger sourire toujours accroché à ses lèvres, alors que la jeune femme continuait son manège, se tripotant dans tous les sens alors qu’il avançait lentement, un pas à la fois. Après tout, pourquoi se priver de rallonger un si beau spectacle, pendant le temps où il est en cours? Et elle prenait cette petite voix doucereuse, enjôleuse, qui représentait l’un des appâts les plus sournois qui puissent exister. Décidément, cette petite savait comment s’y prendre, et elle ne lésinait pas sur les détails pour lui travailler le mental. Et bien malgré lui, tout en veillant à conserver une image calme et amusée, Zokuto ne pouvait s’empêcher d’admirer ce qui s’offrait à lui. C’est là le fléau des hommes : les femmes et leurs atouts.


’’J’ai l’impression que vous… employez des moyens que vous ne devriez pas employer, je me trompe? Une gardienne de l’ordre…’’

Il était désormais face aux barreaux, ces mêmes tiges de fer froid sur lesquels la policière se frottait corps et âme depuis maintenant un moment. Elle ne semblait pas s’en lasser, cette petite garce, pas plus que lui-même ne semblait en être capable d’une façon ou d’une autre. Appuyant son torse sur les barreaux à son tour, il passa à moitié son visage entre deux barreaux écartés, se plaçant à une trentaine de centimètres du visage aguicheur de Mawari. Son sourire plana encore l’espace d’un instant.

’’...est sensée représenter la justice et la fierté. Ce n’est pas digne d’une policière, tout ça.’’

Il avait toujours adoré ce genre de petit jeu, même avant de devenir un membre officiel d’un clan de Yakuza. Depuis longtemps, il aimait faire ce genre de petits commentaires, quitte à se prendre une raclée par la suite. Certains le pensaient littéralement masochiste en le voyant toujours recommencer ce petit manège en dépit de ce que cela lui rapportait, mais il se contentait de sourire à ces gens là sans donner de réponse qui aurait pu les éclairer. C’était un petit défaut, que celui d’aimer faire son petit suffisant. En ce moment, il ne doutait pas que la nature visible de Mawari voudrait probablement lui saisir la tête pour l’écraser sur les barreaux. Mais que pouvait-il y faire? Il aimait ça. Tout simplement.
Revenir en haut Aller en bas
http://battle-for-bijuu.forums-actifs.com
Zenigata Mawari
Peace Maker
Zenigata Mawari


Nombre de messages : 219
Date d'inscription : 12/04/2008

Identité
Rang: Policier
Yens: 350 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeMar 19 Aoû - 12:20

La policière savait que la force brute ne pouvait fonctionner avec ce genre de personnage, le prisonnier s’attendant sûrement à une intervention musclé de la part de Mawari. « Too bad » pensa-t-elle, elle avait envie de tout savoir et fera n’importe quoi pour posséder les infos que cet homme à en sa possession alors la manière forte est sûrement la plus mauvaise option à utilisé face à ce genre d’individu, peut être parlerait-il avec plus de « douceur ».

Franchement Mawari tu fais n’importe quoi… se disait-elle.

Mawari se dit que beaucoup d’autre personne comme elle qui ont du mal à se faire promouvoir sont capable de bien des choses pour une réussite professionnel. Mais n’était-elle pas en train de vendre son âme en ce moment même, plus que son âme son corps dont-elle se sert pour pouvoir embrasser une carrière qui risque d’être compromise si ont la retrouve ici à moitié nue.

La jeune femme s’arrêta de dansé, revenant à ses sens, elle regarda un long moment le prisonnier et se décida à prendre la parole.


« Vous avez raison. »

La policière ramassa ces effets et commença à se rhabiller.

« Cependant je ne vous garantit pas que je m’arrêterais là, je veux vraiment savoir le pourquoi du comment. »

Mawari ré enfila sa jupe de façon assez sensuel et quelques seconde plus tard sa chemise un peu froissé qu’elle laissa à moitié entrouverte. La policière se rapprocha des barreaux à vingt centimètre du policier, le dévisageant de part en part. Un homme âgé beaucoup plus qu’elle, avec plus d’expérience sans doute. Et au fond de ces yeux il y avait cette lueur comme quoi il y avait un certain amusement par rapport à la situation.

« Blague à part, je n’ai pas envie de rester plus longtemps, dite moi tout je vous pris. »
Revenir en haut Aller en bas
Masahiro Zokuto
shingao
Masahiro Zokuto


Nombre de messages : 177
Age : 33
Age du protagoniste : 34 ans
Date d'inscription : 01/04/2008

Identité
Rang: Témoin à charge/Cible
Yens: 30 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeLun 13 Oct - 21:29

(Désolé, j’t’ai expliqué par MP, la troisième fois que je refait ce post, sincèrement désolé =_=’)


Décidemment, il n’arriverait jamais à se défaire de son intérêt pour ce genre de petites activités salaces. Mais lorsqu’il y regardait d’un tout petit peu plus près, c’était très simple de voir qu’il n’y avait en fait pas beaucoup d’efforts pour résister à ces petits plaisirs qu’il s’accordait dès qu’il le pouvait. Et en ce moment précis, comment aurait-il pu résister à l’envie de profiter un brin de la situation qui s’offrait à lui d’une façon si spontanée ? Depuis le temps qu’il pourrissait dans ces lieux sans avoir d’autre contact que les policiers véreux qui venaient l’interroger en le regardant de haut, les employés triés sur le volet qui venaient lui apporter sa nourriture, ainsi que les quelques rats qui logeaient ici à temps partagé, Zokuto était loin d’avoir la faculté personnelle de résister bien longtemps à ce genre de choses. C’est malheureux, mais à force, on finit par perdre des défenses, même si elles restent toujours à moitié présentes.

Or donc, c’était avec un mélange troublant d’amusement, de doute et d’appréhension que le détenu regardait la petite scène qui se déroulait en continu devant ses yeux, même après les paroles qu’il avait proféré, à mi-conscient, dans le but de rendre à la policière une certaines notion de la tenue personnelle, pour ainsi dire. Et avec une chose en tête qui ressembla presque à des regrets, il vit la policière finir par avoir un brin de lucidité. Enfin, suffisamment de lucidité pour cesser de se laisser aller dans la danse sensuelle et éperdue dans laquelle elle s’était laissée voguer depuis plusieurs minutes, au risque d’être découverte dans une position fort désavantageuse aux mains des officiers sans intelligence qui l’avaient laissée passer. Dommage, c’était une chose qu’il n’allait plus revoir de sitôt. Enfin bon, il finirait bien par avoir suffisamment de souvenirs pour ne pas trop s’embourber dans sa routine merdique du coin. Alors qu’elle se retournait pour ramasser ses affaires, lui, toujours appuyé contre les barreaux, la tête sortie de la cellule, prenait son temps pour bien observer ce qu’il pouvait. Un sourcil alla cependant se soulever un instant sur son visage lorsqu’une petite phrase sortit de nouveau des lèvres de la policière. Elle ne s’arrêterait pas là, hein ? Si seulement ça pouvait être une réalité, à la place d’une fiction pour le faire parler. Mais il n’eut pas le temps de s’y attarder, tout occupé qu’il était à poser les yeux sur les délicieuses hanches devant lui, alors qu’elles se glissaient dans la jupe qui faisait partie de l’uniforme de la jeune femme. Seigneur, il allait devoir se refaire un petit compte rendu mental, à force…

Puis, la policière se retourna vers lui, alors qu’elle boutonnait lentement sa chemise immaculée, quoique légèrement froissée. Apparemment, elle ne semblait pas plus apprécier la situation qu’au moment où elle était arrivée devant sa cellule avec son petit air nonchalant et autoritaire. Silencieux, il la vit croiser les bras, et s’approcher relativement près de lui. Il pouvait voir chaque détail de son visage, alors qu’elle était visiblement en train de détailler le sien avec une minutie digne d’éloges. Puis, il y eut un dernier commentaire qui manqua d’arracher un nouveau sourire, si ce n’était du caractère que cette phrase revêtait. Alors, elle voulait savoir, hein … À vrai dire, il commençait à en avoir marre, personnellement. Et puis, une occasion de mettre des bâtons dans les roues à ce fichu commissaire… Pourquoi pas. Zokuto eut un soupir, regardant sur les côtés un moment avant de séparer les lèvres.


’’Vous allez vraiment finir par me faire regretter de ne pas être déjà mort…Enfin, au moins, vos barreaux m’ont tenu en vie. Vous voulez tout savoir ? Vous avez uniquement besoin de savoir que j’ai suffisamment cafté pour permettre l’arrestation de la tête dirigeante d’un clan de Yakuza important, mon propre clan, en plus. Et malheureusement pour moi, les Senju ne sont pas suffisamment sympathiques pour me laisser en vie, même avec les raisons pour lesquelles j’ai agi.

Il avait dit la dernière phrase en se retournant des barreaux, laissant tomber les bras avec dépit alors qu’il se dirigeait vers la fenêtre à barreaux de sa cellule. Et voilà, il venait à la fois de se soulager d’un peu de poids, tout en mettant dans un bateau bourré d’explosifs une policière trop curieuse sur ses chiffres de travail. Enfin, c’était à elle de décider ce qu’elle allait faire avec les informations dont elle disposait maintenant. Et puis, ça ne changeait rien dans son cas, il allait rester enfermé quand même. Zokuto se retourna à moitié vers Mawari, au bout de quelques derniers pas.

’’Vous voulez autre chose, où est-ce qu’on en a fini avec les infos qui viennent de vous foutre dans la merde avec les Yakuzas et vos patrons ?

Il commençait à en avoir marre, tout à coup. Si elle avait encore quelque chose à demander, qu’elle le fasse vite, de toutes façons, elle n’arrêtait pas de pleurnicher sur le fait qu’il ne lui restait plus beaucoup de temps. Il n’y avait qu’à attendre.
Revenir en haut Aller en bas
http://battle-for-bijuu.forums-actifs.com
Zenigata Mawari
Peace Maker
Zenigata Mawari


Nombre de messages : 219
Date d'inscription : 12/04/2008

Identité
Rang: Policier
Yens: 350 000
Santé:
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Left_bar_bleue100/100Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty_bar_bleue  (100/100)

Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitimeMar 4 Nov - 9:44

*Yatta !* Le détenu était passé enfin à table, rien de plus jouissif que de voir ses efforts récompensé… Il fallait qu’elle enquête, ou demander à aider sur l’affaire.

“Oh, non stop…”

Si ont savait qu’elle avait mis les pieds dans cet endroit ça lui coûtera sans doute sa place ou une mutation au service de la circulation. Mawari ne pouvait prendre plus de risque… Le prisonier Zokuto-san semblait des plus irrité et lui demanda s’il elle avait d’avantage de question. Bien sûr que non ! Même s’il avait été quelque peu vague Mawari savait exactement à quel affaire cet homme était relié et maintenant qu’elle en avait fini avec lui et satisfait sa curiosité elle allait partir.

« Je voudrais vous demandez qu’une chose. Je ne suis jamais venue ici, c’est entendu ? »

C’était simple, tant qu’elle ne se faisait pas prendre elle n’aurait rien à craindre des instances supérieure, mais il fallait qu’elle le disent à quelqu’un. La policière se rappela de Eva, elle cherchait sûrement des infos en rapport avec cet ôjisan. Là, elle se dit qu’Eva lui en devra une pour ça et franchement c’est ce qu’elle voulait. La jeune femme regarda l’homme qui s’était placé au fond de sa cellule, elle se courba et le remercia.

« Merci de votre coopération, Zokuto-san. »

Elle tourna les talons et d’un signe de la main suivi d’un « Sayonara », Mawari s’en alla. Ne laissant que pour signe de sa présence que le bruit de ces talons martelant le sol. La jeune femme sortit discrètement du quartier des détenue et fit un baiser sur la joue à chacun des gardes qui franchement était toujours aussi facile à berner. Mawari allait encore réfléchir a ce qu’elle ferait de cette info, et songeuse alors qu’elle se rendait dans la salle des vestiaires pour se changer son service étant fini, elle décida de contacter Eva Minamoto. Elle lui raccrocherait sûrement au nez s’il l’appelait, c’est donc ainsi qu’elle décida de lui envoyer un mail. Elle s’assit donc sur un des bancs qui faisait face au vestiaire et commença a tapoter sur le clavier de son cellulaire.

Quelques minutes suffirent pour qu’elle expose la situation en un mail.


Citation :
« J’ai découvert quelques, quelque chose d’étrange suite à une rumeur qui courait dans le commissariat. Et tu sais quoi ? Je me suis rendu à l’endroit dont parlait ces rumeurs. J’y ai découvert un homme emprisonné. Franchement ce ne fut pas facile de le faire parler, j’ai du usé de mon corps pour lui faire cracher le morceau. Et Jackpot, il s’agit en fait de celui qui a témoigner contre le chef de cette famille de Yakuza emprisonné il n’y à pas si longtemps. J’espère que tu m’inviteras à boire un coup pour ces infos ! »

Toute fière d’elle Mawari envoya le mail. Maintenant elle devait se laver du regard lubrique de l’homme qui s’est bien rincé l’œil, les douches l’attendait.

[===> Quelques part au commissariat
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Empty
MessageSujet: Re: Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]   Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Le Questionnaire de la Policière [PV Mawari]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Tableau de messages :: Archive-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser