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Okane Iori
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Okane Iori


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MessageSujet: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeSam 3 Mai - 9:36

Cela faisait un moment qu’Iris aurait déjà du se retrouver dans ce bureau à l’heure qu’il est, hier encore, elle aurait déjà dû faire son rapport de son rendez-vous avec son client. Iori tournait en rond dans son bureau, se faisant des scénarios des raisons de son absence.
Le fait qu’il lui soit arrivé quelque choses, La Shatei-Gashira ne voulait pas y pensé… Un accident ? Une altercation policière ou comme elle est très belle ont la traîné ont ne sais où ?
Iori préféra se calmé, et décida d’aller s’asseoir et de boire un verre ou deux. Quelques secondes suffirent pour qu’elle atteigne son espace de travail et dix autres secondes font qu’elle remplisse son verre de Whisky.

Avant de porté le verre à sa bouche la jeune femme se posa des questions.


*Elle ne m’a pas donné une heure précise pour cet entretien pour me posé un lapin, elle ferait mieux de ramené ses jolies petites fesses la Gaijin.*


Le goût du Whisky imprégna la gorge d’Iori, l’un des seuls alcools Occidentaux qu’elle pouvait supporter sans que cela ne lui déchire le gosier.
Le retard de la jeune demoiselle, Iori devait en faire abstraction maintenant et se concentré sur ces autres filles pour le moment, mais le destin ne voulu pas que cela se fasse.

Le téléphone se mis à sonné et Iori s’empressa de décrocher, le bruit la dérangeant beaucoup. Il s’agissait d’un de ces sous-fifres dont elle reconnaissait que la voix est trop grave à son goût, Iori s’abstiendrait de le malmené sur ce point.


« Que puis-je pour toi, Shishô-san ? »

Le vieux c’était mis à rire, ce qui déplaisait fortement à l’oreille de la jeune femme.


« Okane-sama, vous ne devinerez jamais qui est au bar en ce moment. »

Elle sourcilla légèrement.


« S’il s’agit d’une de mes filles, tu lui dis de ramener ces fesses à la boîte et tout de suite. »


L’homme se remis à rire plutôt bruyamment.


« Tu devrais arrêter de rire comme un gros phoque, c’est plutôt embêtant… »


Shishô-san cessa sur le champ, embêté par cette remarque il alla droit au but.


« Hé bien figurez-vous qu’un haut fonctionnaire se trouve dans le bar en ce moment, et je me suis dit que peut être avec l’affaire qui nous intéresse tous. Ou qu’optionnellement que l’ont pourrait lui faire une petite frayeur et en faire l’un de nos indic. »


Aaah, ce vieux Shishô avait toujours d’excellentes idées et prenait toujours les bonnes initiatives. C’est l’expérience qui parle et Iori savait que c’était un facteur non négligeable.


« Très bien, fait comme bon te semble. Néanmoins je viendrais moi-même voir ce qu’il en est de ce haut fonctionnaire dont tu ne veux pas décliné l’identité. »


Le vieux se retint de rire lourdement.


« Vous savez très bien qu’il faut un zest de surprise dans ce métier, Okane-sama. »


Et elle répliqua part.


« D’accord, d’accord. Appelle-le taré de service comme d’habitude. Tient c’est quoi son prénom déjà ? Hmm… Hiran, oui c’est son prénom demande lui de se chargé de ça avec quelques hommes en renfort. Tient moi au courant de tout fait nouveau, je me déplacerais moi-même si vous parvenez à vos fins. »


« Il en sera fait ainsi, Okane-sama. »


Le vieux Shishô raccrocha, et Iori en fit de même. Les choses semblaient devenir intéressantes et Iori se demandait qui pouvait bien être la personne qu’avait remarquée le vieux. Enfin ce n’était pas grave, maintenant ce qui comptait était l’arrivée de la belle Iris qu’elle prendrait plaisir à châtier.
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Richter Iris
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeSam 3 Mai - 14:23

[Arrow Quartier Residentiel ]

Les rues étaient animé comme d’habitude, portant les habits déchirer de la veille, Iris attirait quelque peu les regards, mais elle s’en fichait, il fallait qu’elle voit Iori, et elle ne savait quoi lui donner pour excuse, son client de la veille avait déjà dut l’appeler, lui dire qu’elle ne s’était pas présenter au rendez vous. Elle avait passé la journée dans la maison de cette inconnue, alors qu’il était déjà partie, pour une quelconque destination qu’elle ne connaissait pas. Mais le moment de détente était fini, il lui fallait à présent affronter sa tigresse de patronne, elle entendait déjà les cries et les claques fuser. En particulier lorsqu’elle lui dira qu’elle ne travaillerait pas non plus ce soir. Iori le prendra surement très mal, peut être même qu’elle l’a forcera à y aller, mais elle s’était décidé, elle n’irait pas un point c’est tout…

Iris soupira un instant, elle était arrivée, l’envie de rebroussé chemin se faisait sentir, mais elle n’avait pas le choix. Elle pénétra dans l’établissement, les regards de ses collègue se posèrent sur elle instantanément, la gaijin avança jusqu’au comptoir derrière lequel était présente Sayuri. Elle l’a regarda un moment, lui demanda ce qui s’était passé, mais Iris ne répondit rien. La femme lui indiqua alors qu’Iori l’attendait. Elle eut un petit sourire contrit, puis la gaijin se dirigea vers le bureau. Elle frappa doucement à la porte, et entra lorsque la voix de sa patronne se fit entendre.

La tête baissée, la jeune femme restait contre la porte, son sac entre les mains, avec son uniforme abîmé, après un petit moment elle osa poser son regard sur la Shatei-gashira, mais ses lèvres restèrent closes. Iori pouvait admirer le travail de ses agresseurs, mais est ce que se sera suffisant pour qu’elle lui pardonne son geste. Surement pas. Où peut être qu’elle se trompait, après tout la yakusa était elle aussi une femme, Iris inspira un bon coup puis elle dit doucement :

"Désolé de vous avoir fait attendre Okane-San, Comment allez vous ?"

Il valait mieux commencé par les politesses, d’autant plus qu’Iori avait l’air d’humeur massacrante. Est-ce qu’elle s’inquiétait pour elle ? Ou bien est-ce autre chose ? Probablement autre chose, pourquoi s’inquiéterait elle pour une acquisition ?

"… Je suppose que Fujii-San vous à appelez pour vous dire que je n’étais pas allée au rendez vous prévus…"

Elle savait qu’elle n’y couperait pas alors autant commencer par ce qui fâche n’est ce pas ? Maintenant toute la tension qu’elle ressentait autour d’elle, devait être ou soit calmé par ses prochain mots, ou soit accentué, elle reprit d’une voix calme mais ou raisonnait une certaine peur :

"Je… Okane-San, je vous prie de me pardonné, mais je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas travailler ce soir là. Je me sentais mal…"

Iris baissa les yeux, qu’elle ferma un instant tout en se mordillant la lèvre inférieure. A présent comment faire pour lui annoncé qu’elle ne travaillerait pas non plus aujourd’hui. Elle murmura :

"Je me suis mise à errer dehors, je ne suis pas rentrée chez moi, et je ne suis pas aller à l’école d’ailleurs…"

Elle ne dirait pas ou elle avait passé la nuit, cela n’avait aucune importance pour sa patronne et puis elle préférait ne pas en parler, surtout si elle voulait retourner chez cet homme, lorsqu’elle en aurait fini ici pour le remercier, elle reprit sur le même ton :

"Je… Je ne travaillerais pas non plus ce soir… Je ne peux pas… Je ferais en sorte de vous remboursé la différence s’il le faut…"


Dernière édition par Richter Iris le Dim 4 Mai - 7:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeSam 3 Mai - 14:55

On toqua à la porte. Trois coups secs. La poignée grinça, et la porte s'entrouvrit. Y entra William. Comme d'habitude, l'irlandais n'avait pas vraiment attendu qu'on lui dise d'entrer pour le faire. Il avait cependant épargné à Iori un cordial "salut ma vieille !", se disant qu'elle n'aurait sans doute pas vraiment trop adoré. A la place, il s'inclina furtivement, enfin suffisement pour qu'elle le remarque. Puis, il referma la porte soigneusement en vérifiant que personne n'écoutait par le panneau. Précaution élémentaire quand on discute avec ce qui ressemble le plus à la patronne après l'Obayun. Enfin, il fit quelques pas vers Okane, et s'arrêta. Attendant peut-être une invitaion à s'assoir qui ne venait pas. Ou alors rien, c'est possible aussi. Puis, il remarqua Iris. Il se dit alors qu'il était rentré un peu vite.
Après quelques trentes secondes de silence qu'observait les trois protagonistes, William entama la discussion.


- Mademoiselle...

Il savait bien sur, comme tout le monde dans le clan Jomuko, la petite "difficulté" qu'avait son interlocutrice avec la gent masculine. C'est pourquois, il preférait jouer la carte de... ce mot en "p" qu'il n'utilise presque jamais... Ah oui, la carte de la politesse. Et puis, elle sentirait sans doute qu'il était totalement désintéressé sexuellement par elle, ça lui rappellera pas trop de mauvais souvenirs comme ça.
Oui, parceque facher quelqu'un qui n'a claquer des doigts pour vous envoyer avec un poid aux pattes dans le port de Tokyo, c'est pas une exellente idée. Et puis, une foi de temps en temps, ça fait pas de mal.


- ... c'est un réel plaisir de me retrouver dans ce bureau.

Enfin, comme il n'en faut demander des masses à Amoniaque au niveau total respect hiérarchique, politesse soumise, j'en passe et des meilleures, c'est avec le respect tinté d'estime qui convenait plus à ses manières qu'il continua. En se tenant néamoins droit, les bras le long du corp, dans une attitude mi-stricte, mi détendue.

- On m'a vaguement dit que vous m'attendiez ici, ou que vous souhaitiez me voir. Alors me voila.

Bon, maintenant comment on demande poliment "mais au risque de paraitre impoli, qu'est ce que je fou là ?". Voila ce que occupait son attention.

- Or, si je suis ici, je présume que vous désirez de moi quelque service. Sans vouloir abuser... De quel ordre ?

Il pensait qu'il était vraiment intervenu au mauvais momment. Mais comme visiblement, la précédente interlocutrice de la patronne avait l'air de passer un mauvais momment, ça lui évitera sans doute quelques remontrances. Par contre lui, il risquait d'en prendre plein la gueule. Bah, on verra ce qui se passera. Jusqu'a aujourd'hui il en était pas mort.
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeSam 3 Mai - 16:19

Iori s’apprêtait à répondre franchement à Iris, fraîchement débarqué dans son bureau en haillon. La Shatei-Gashira posa son verre de Whisky doucement sans bruit et elle écouta les ploiements d’Iris qui s’excusait à tort et à travers. Par quelle aventure était-elle passée ? Pourquoi rentrait-il dans cet état ? L’on ne pouvait imaginer le degré de colère et d’inquiétude qu’elle pouvait bien avoir accumulé.

Certes elle l’avait acheté a des trafiquant humain en Allemagne mais sa relation avec elle ne se limitait pas à cela. Néanmoins Iris n’avait fournie aucune excuse valable sur son absence et qui plus ai elle venait de lui faire perdre de l’argent.

Iori se leva et agilement se dirigea vers Iris et en quelque pas léger elle se retrouva devant la jeune fille qui fait sensiblement la même taille qu’elle. La yakuza remarqua l’entrée de William, à qui elle fit signe de la fermé d’un simple regard.

La main de la Shatei-Gashira la démangeait, elle essaya de se retenir de la frapper, cependant Iris ajouta le fait qu’elle ne voulait pas travailler se soir encore. C’est à se moment que comme le vent, la main d’Iori lui échappa et claqua le visage d’Iris qui fut projeté sur le sofa sous l’impacte du coup. Iori décida de ne pas s’arrêté là, elle avança encore une fois vers Iris et se saisie d’elle par les cheveux et la plaqua par terre d’un mouvement violent et brusque. Ces cours de Aïkido qu’elle pratique depuis l’université paye finalement, mais dans une situation qu’elle aurait souhaité évité.

Entre une prise de soumission, Iori s’adressa à Iris.


« Pas étonnant que tu ne veuille pas y aller. Bordel ta vue dans quel état tu te retrouve ? Tu crois que va aller bosser comme ça. »


Iori s’accroupie et resserra sa poigne sur les cheveux de la jeune femme qu’elle pouvait arracher si elle le voulait.


« Ah, non j’oubliais… Madame ne veut pas aller bosser ! »


Iori approcha de sa bouche de l’oreille de la jeune Iris qui ne criait pas étrangement.


« Ecoute ma jolie tu va te maquillé fissa et enfilé la jolie robe à ton nom qui se trouve dans les vestiaires. »


Iori la lâcha puis se releva et épousseta son genou qui avait touché terre. Maintenant son attention se dirigea vers William à qui elle fit signe de prendre place vers l’un des siège près du bureau.


« Désolé de vous offrir ce spectacle des plus déplorable. »
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeSam 3 Mai - 17:28

Iori n’avait rien dit, elle l’avait écouté simplement, puis un homme entra dans le bureau, un étranger lui aussi, mais apparemment il était la pour une autre affaire, elle lui intima l’ordre d’entré et de s’assoir d’un simple regard. Iris continua tout de même, lorsqu’elle dit qu’elle ne voulait pas travaillé ce soir, la tension monta d’un cran. Elle sentit sa joue lui bruler fortement, elle aurait dut le deviner, Iori n’allait pas laisser passer cela avec quelque paroles. Elle venait de la giflé la faisant tombé sur le sofa, Iris lâcha son sac, mais ne dit rien les yeux écarquiller par la surprise, ce n’était pas une claque anodine comme elle avait l’habitude de le faire non. C’était une vraie gifle.

Un frisson glacé parcourut l’échine de la gaijin et comme ci cela ne suffisait pas la Shatei-gashira attrapa sa longue chevelure pour la plaquer contre le sol avec une brutalité et une violence qu’Iris ne lui connaissait pas. Elle ferma les yeux, restant à terre sans bouger, sans crier. Elle lui fit des reproches sur sa tenue, sur sa demande tandis que sa poigne se resserra sur sa chevelure s’était à prévoir. Puis elle lui murmura qu’il était temps pour elle d’aller s’habiller pour son prochain rendez-vous avant de la lâché.

Iris se redressa alors tandis qu'Okane s'excusait auprès de son hôte, sans regarder sa patronne, elle entoura son corps de ses bras. Elle tremblait légèrement, elle ferma les yeux, tandis que les larmes se manifestait, elle n’irait pas, elle avait décidé que ce soir elle n’irait pas travailler… Elle osa alors poser ses yeux sur la yakusa, c’est d’une voix tremblante où raisonner, la peur et les larmes qu’elle lui dit :

"Je n’irais pas travailler Okane-San, je ne veux pas… Je ne peux pas…Quoique vous fassiez je n’irais pas..."

A genoux, refermant un peu plus ses bras sur son corps, la peur au ventre, elle baissa son regard lentement, ferma un instant les yeux et dit de cette même voix :

"Vous avez parlé de mon accoutrement il y a un instant… C’est… Hier... Ce sont des élèves de mon lycée qui les ont déchirés… Ils ont..."

La jeune femme se tut, un instant, elle inspira un coup, regarda Iori dans les yeux, et reprit d’une voix mal assuré :

"Ils ont essayé de me violer… Trois garçons de mon école, m’ont coincé dans un couloir et… M’ont emmené de forces dans une salle pour me violer, j’ai réussit à m’enfuir… Mais… mais je n’ai pas eut la force de venir travailler… Je n’irais pas… Je ne peux pas !!!"

Elle aurait hurlé les derniers mots si ce n’avait pas été Okane qui était face à elle, la jeune femme avait complètement occulté la présence de l’homme entré quelques minutes plutôt. Une larme glissa sur la joue d’Iris, elle dit doucement, après une longue inspiration :

"Je suis vraiment désolée Okane-San, je sais ce que je dois faire, ce que je vous dois… Mais je ne peux pas… Pas ce soir…"

Elle tremblait de tous ces membres, n’osant plus regarder sa patronne, ceux-ci était rivé sur le sol, tandis que ceux d’Iori était rivé sur elle. Les bras d’Iris se refermèrent sur son corps avec force, elle n’en pouvait plus, elle voulait simplement une nuit de plus, pour essayer de reprendre le dessus.

"S’il vous plait Okane-San… Essayer de me comprendre…"

Murmura t-elle d’une voix brisée. Tandis qu’elle essayait de retenir le flot de larme qui voulait s’échapper.
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeDim 4 Mai - 3:27

Comme Iori le lui avait dit, William s'était assit. Il se tenait droit dans son fauteuil, quoi qu'un peu avachit dans le fond. Après tout il vaut mieux être bien installé pour discuter, ou recevoir des ordres.

Ca revient au même, y'en a au moins un qui parle. Puis, la jeune fille se releva. Et parla directement à la Shatei-gashira. William sourit. On n'en voit pas tous les jours des gens qui s'opposent directement aux patrons des yakuza. En même temps, vu ce qu'elle disait, que ce soit Iori qui la lapide ou les trois autre c'était pareil avec un viol en moins. A moins qu'il n'exagère un peu la situation, même si en général, après un viol on en supprime la victime. L'irlandais n'intervint pas.

Il désirer laisser Iori régler ça. Et au pire il pourrait proposer son aide à but non lucratif plus tard. Aah, son manque de sens des affaires le perdra. En même temps, entre membres d'un clan... Il prit donc le partit de se prostré dans un silence poli, enfin plis ou moins, le léger froncement de son sourcil gauche cassait un peut la politesse de son attitude. Ce n'était pas sa faute, il avait du mal avec la violence gratuite. Il répondit néanmoins à Iori.


- Oh, j'ai plus ou moins l'habitude. Et puis c'est ma faute, j'aurais peut-être dut attendre un peu plus.

Il se tourna vers Iris' qui se tenait dans une posture des plus convaincantes quand à ce qu'elle affirmait. Il dut reconnaitre qu'il avait mal pour elle, ça doit pas vraiment faire plaisir des masses d'échapper de justesse à une tentative de viol.

- Je vous prie de m'excuser si je vous ai causé le moindre préjudice par mon entrée un tantinet... rapide.

Cet endroit le perdra, voila qu'il vouvoyait les gens et s'excusait pour ses intrusions. Bientôt dans des situations analogues il va proposer de se faire hara-kiri pour effacer l'injure. Qu'est-ce que l'Irlande lui manquait décidément.
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeDim 4 Mai - 8:53

Le cœur d’Iori se serra à l’énonciation de la tentative de viol d’Iris. De terrible souvenir remontèrent à la surface, la Shatei-gashira revit l’image de son beau père… Elle devait rester calme et rester objective. Quoique Iris en larme, pour elle c’était un spectacle des plus attendrissant et triste à la fois. Iori avait envie de la serrer dans ces bras et de s’excuse de comment elle l’avait traité. Mais non ! Elle ne pouvait pas se permettre d’agir ainsi, surtout devant l’un de ces subordonnés. Pauvre William, il n’est qu’un observateur, malgré ces bonnes intentions les deux femmes occultèrent complètement sa présence du fait de la situation.

La jeune femme n’exprima aucun sentiment de compassion, elle se devait de resté professionnel, C’est ainsi qu’elle décida cependant de ne pas être tyrannique et de se montrer magnanime. Iori se redressa sur son siège et regarda la jeune Gaijin d’un air franc et détaché, ces mains se crispèrent à la vue de la jeune demoiselle tremblotante attendant la décision de la Shatei-gashira.

Finalement Iori pris la parole.


« Très bien, je comprend pourquoi maintenant tu ne souhaite pas travailler. Je ne suis pas un monstre, alors je consens à ce que tu ne travail pas se soir. »


Iori poussa un soupir, embêté par cet air froid et placide qu’elle venait d’avoir. Néanmoins ce n’était pas tout ce qu’elle voulait dire et elle continua donc à s’exprimé.


« Mais juste pour ce soir demain je veux que tu sois présente à ton prochain rendez-vous. Tu viens quand même de me faire perdre de l’argent, ne soit pas étonnée d’en être châtier. Je t’enlève un mois de salaire et tu devras vivre sur tes réserves ma jolie. »


Sévère mais juste, c’est l’impression qu’elle voulait laisser. Les pulsions maternelles d’Iori se firent réprimées par sa volonté de fer, mais la Yakuza savait qu’Iris ne resterait pas sur ce genre d’événement comme elle étant plus jeune. Enfin sa n’aurait pas été le cas si les jeunes saligauds l’ayant agressé était passé à l’acte. Iori se dirigea vers Iris, se tenant devant elle. Les larmes avait fait coulé ce qui restait de mascara sur son visage. La Shatei-gashira chercha d’une main son mouchoir, qu’elle trouva rapidement dans la poche de sa veste. Tout de suite elle sécha les larmes de sa jeune employé.


« Tu ne va pas rester et te morfondre sur cet affaire, hein ? »
Iori en profita pour remettre en place les cheveux d’Iris et effaça le rouge à lèvre qu’elle portait encore avec le dit mouchoir.

« N’oublie pas l’objectif que tu t’es fixé, tu es une grande fille. Malgré ce que tu as vécu tu as su resté digne et forte. Ne baisse pas les bras maintenant. »


Iori pris les clés de voiture qu’elle avait encore dans sa veste Louis Vuitton. Elle les mit dans la main frêle et tremblante d’Iris.


« Demande à Takeda-san de te ramener chez toi, avec la voiture. »


Iori ne pu s’empêcher de rajouté une touche bien à elle. Elle enlaça la jeune demoiselle et l’embrassa d’un baisé profond. Sans doute voyait-elle cela comme son harcèlement habituel, mais pour Iori c’était quelque chose comme une sorte de réconfort qu’elle lui donnait. La Shatei-Gashira se sépara d’elle et lui dit.


« Part, part mais sache que demain soir… Je serais là à t’attendre quoi qu’il arrive. »
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeMar 6 Mai - 10:57

[bon, comme iris poste pas, c'est moi qui m'y colle ^^]
Un large sourire effleura le visage de William. Le genre de sourire qui fait plaisir des fois. Mais avec lui, c'est annonciateur de phrase du genre qu'on ne sort pas à quelqu'un à qui on vient de dire qu'elle vient de perdre de l'argent, parce qu'en plus, sa protégée à de justesse échappée au viol. Mais parfois la raison s'estompe dans l'esprit de l'irlandais, un peu comme un sucre dans du café. Ca tien, ça tien, et puis ça tien plus. (Entre nous, buvez du café fort et pas sucré, parce que sucré ça gâche le café, bref.) Sans la moindre nuance de sarcasme, mais avec un amusement prononcé, il se prit à prononcer ces mots, et dut se broyer la cuisse pour ne pas éclater de rire.

- Bon, si vous avez finit d'abuser de vos employées Okane-sama, vous pourriez peut-être m'expliquer ce que je suis censé venir foutre ici. C'est pas que j'ai quelque chose contre le "spectacle" hein, mais...

Bon, dans cette phrase presque dite malgré lui, vous savez, comme dans ces moments où la spontanéité prend le pas sur la raison, il y avait un truc exceptionnel : il avait plus ou moins réussit à mettre le bon suffixe après le nom de sa patronne. Il ne fit part à personne de la joie intérieure qui l'animait encore plus maintenant. Il valait mieux. Bon après l'utilisation de vocabulaire pas forcément très châtié, ben c'est William quoi. Le nom William se suffit à lui-même.

- Enfin si vous voulez, je peux repasser plus tard, moi ça me dérange pas, y'a un bar dans le coins assez sympa j'ai entendu dire...

Et ça y était, l'irlandais avait reprit le pas sur la petite carapace made in japan qu'Amoniaque s'était rapidement tricoté. Bon, sa grand-mère lui a toujours dit qu'il ne valait rien en tricotage. Mais quand même il aurait espéré que ça dure un peu plus longtemps, parce qu'il faut le dire, il est assez du genre impatient quand il s'y met. Enfin bon, au fond de lui même, il se dit en toute sincérité, que la situation, il valait mieux en rire que d'en pleurer puisque pour l'instant, il n'y avait pas eut de mort. Ni de violée d'ailleurs. Enfin mis à part un gros choc psychologique pour Iris. Mais bon, elle en guérira.
Pour l'instant, suffisamment shootté par l'endorphine que son cerveau commençait à sécréter, il ne craignait pas d'avoir froisser la patronne. Par contre il avait mal à la jambe. La faute à qui ? Nan mais je vous jure, quelle idée de se broyer la jambe.
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeMar 27 Mai - 17:12

Iori l’a regardait un moment, tandis que ces mots s’insinuaient en elle, allait elle accepter à présent ? Iris repensa à ces dernières vingt-quatre heures… Elle se sentait mal. Comment pourrait-elle affronter le regard vicieux et lubrique de ses clients en de telle circonstance. C’était bien trop difficile pour elle. La jeune femme observa sa patronne tandis qu’elle s’adressait à elle, c’est avec soulagement qu’elle entendit cette dernière dire qu’elle lui laissait sa soirée. Un soupir franchis les lèvres d’Okane, l’air exaspéré, Iris le prit pour elle, la Yakusa perdait de l’argent à sa patronne et cela l’irritait probablement.

Juste ce soir, oui rien que ce soir… Un mois de salaire ? Elle allait perdre un mois de salaire, elle qui économisait depuis un moment, allait devoir prendre sur ses réserves… Mais qu’importe, elle travaillera un peu plus le mois prochain pour réalimenté son compte. Et puis le commissaire Masamune à toujours besoin d’information sur certain de ses clients. Iori s’approcha alors, Iris, l’a regardait sans bougé, ne faisant aucun geste, s’attendant à être congédier sans ménage. La yakusa enfonça sa main dans sa poche pour en sortir un mouchoir, elle se mit à genoux face à l’escorte, et essuya son visage, enlevant le maquillage qui avait coulé sur son visage.

Ne pas resté sur ca… Certes mais il fallait y arriver, et ça c’était bien plus difficile. Mais elle y arriverai, comme venait de lui dire Iori, elle avait un objectif, et si elle voulait y arriver, il ne fallait pas qu’elle se laisse abattre. Digne et forte, c’est vraiment ce qu’elle pensait, elle espérait vraiment que c’était le cas, malgré qu’elle soit devenue une escorte, malgré qu’elle soit devenue qu’une poupée. Iori se releva, s’approcha de sa veste et s’empara d’un petit trousseau de clé. Ceux de sa voiture.

Demandé à Takeda-San de la raccompagner ? Une chose tellement rare, c’était même quasiment impensable. Elle prit les clés doucement en se levant, les regarda un instant incrédule, laissant toujours un bras cachant sa poitrine. Iris se retrouva alors dans les bras de sa patronne, elle se laissa faire comme d’habitude, tandis qu’elle tremblait encore légèrement. Pour ensuite sentir les lèvres d’Iori contre les siennes. La jeune femme répondit au baisé, plus par habitude que par réelle envie.

Iris hocha de la tête lorsque la Shatei-gashira lui précisa qu’elle l’attendrai dans son bureau demain après les cours. Iris rougit légèrement, au commentaire de l’autre protagoniste, peut être avait elle honte. Elle ne fit aucun commentaire sur le sujet. Après un petit silence, elle dit d'une toute petite voix :

"Encore une fois... Gomenasaï Iori-San, je serais la demain… A l'heure habituel, c'est promit..."

Elle la salua, salua l’intrus… Puis la jolie gaijin alla retrouver le chauffeur de sa patronne, qui l’a raccompagna jusque chez elle, Iris remercia l’homme pour finalement investir son appartement.
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeLun 16 Juin - 17:33

Pauvre petite… Iori la regardait s’en aller et le temps qu’elle ferme la porte la jeune femme se retourna aussi sec vers ce pauvre William qui ne savait pas ce qu’il l’attendait… Dans sa tête et surtout dans « ces locos » Iori avait le droit d’abusé de ces employées comme elle le voulait et la réplique de son subalterne ne lui à pas plus. C’est alors qu’elle se décida à lui faire comprendre qu’elle est sa vraie place.

« Vous n’êtes point au courant de la notion de respect ? »


Iori se retenait de vouloir le frapper… décidément elle ne supportait pas les manières des gaijin, si rustre et laxiste. Ce n’est pas qu’elle trouvait les japonais bien mieux, mais elle ne supportait pas qu’un étranger lui dise quoi faire. S’en fut trop la Shatei-gashira devait se calmer et c’est ainsi qu’une idée lui vient en tête et décida de la mettre en application… Iori s’approcha d’avantage de William et lui donna un coup de pied dans la jambe, il s’en suivit d’un bruit sourd et satisfaite la jeune femme décida de retourné à son bureau, tandis que l’homme se tordait de douleur.


« Je dois vous apprendre que je déteste vraiment qu’on me dise quoi faire O'Niac-san, je vous prierais de bien réfléchir à ce que vous dite… »


Iori pris place dans son espace de travail et s’accouda à son bureau jetant un œil à tout cet espace ordonné, un sourire se dessina sur son visage.


« Quand on bosse pour moi on ferme sa gueule, compris ? Je ne vous ai pas fait venir pour que vous me jugiez sur mes actions avec mes employées… »


Iori se cala bien dans son fauteuil et laissa passer du temps et décida enfin d’en venir au sujet du jour.


« J’aurais une tâche à vous confier, si bien sûr vous avez les capacités requises. Cependant vous êtes mal partie. »


En effet, déjà que la vue de William l’insupportait… si il était sarcastique et impoli elle le ferait dégager.


« Nous devons faire parler quelqu’un, une personne qui sait peut être quelque chose sur une affaire très urgente. »


Dernière édition par Okane Iori le Dim 22 Fév - 17:18, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeMar 17 Juin - 5:06

Son éternel sourire revint s'accrocher sur le visage de William, une fois qu'il eut chassé la douleur de son esprit. Chose relativement facile après tout. Et là, ça promettait d'être un entretient bien sympathique. L'irlandais fit mine de réfléchir deux secondes aux différentes manières qu'il aurait de faire parler quelqu'un. Puis il ouvrit la bouche.

- Ma fois, je dirait que j'arriverais sans doute à le faire parler.

Dans son esprit défilaient les gens qu'il avait forcé à parler. Ils étaient nombreux. Très nombreux. Et le tout, sans jamais utiliser la violence. Ou alors à de très rares occasions. Mais il n'aimait guère ce procédé. Pour une raison qu'il ne se retint pas d'exposer à la Shateï-geshira.

- Cependant, Okane-Sama, je dois vous prévenir tout de suite que je ne me résoudrait à employer la violence qu'en cas de dernier recours. J'ai lut quelque part - et le principe m'a bien plut - que la violence était le dernier refuge de l'incompétence. Alors soyez sure que je respecterais ce "principe" du mieux que je le peux. De plus il est beaucoup plus dur de porter plainte si l'on a seulement été malmené psychologiquement.

Il avait parlé durant cette tirade d'un ton neutre, ne trahissant aucune émotion. Insistant seulement d'une manière sarcastique - bien que cette insistance ne soit qu'une nuance à peine perceptible et qui ne faisait rien de plus qu'installer le doute sur le pourquoi de la modification du ton : respect ou raillerie - sur le titre de sa supérieure.
Il marqua ensuite une pause, soigneusement calculée pour laisser le temps à Iori de digérer ses paroles, mais pas suffisamment longue pour qu'elle puisse les comprendre en profondeur.


- Pour le reste, j'accepte, si bien sur vous daignez me pardonner pour mon manque de respect, j'accepte cette mission avec... plaisir.

Cette fois-ci, le ton de sa voix s'était montré plus respectueux. Une manière de montrer qu'il acceptait l'autorité d'Okane sans complexe, et qu'il avait comprit le message - globalement.
Puis il ajouta.


- Par contre, j'aurais besoin de quelques informations quand aux conditions de ce passage aux aveux. Quand à la personne qui devra parler et bien sur quand à l'affaire en question.
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MessageSujet: Re: I'll be your home   I'll be your home Icon_minitimeSam 28 Juin - 9:49

Une migraine s’empara de la pauvre tête d’Iori. Cet homme apprendrait bien vite qu’un japonais apprenait a garder sa langue tout comme il faut à moins de le battre à mort c’est là le seul moyen de les faire parler.

«Ma foi, vous êtes bien présomptueux… cependant je ne connais rien de vos capacités sur le terrain, je voudrais que vous me fassiez voir votre technique pour que je sois témoin de vos habilités.»

Okane n’appréciait pas l’excès de zèle de William, pourquoi n’arrivait-elle pas à le supporter ? Sûrement parce qu’elle n’arrivait pas à comprendre ce que foutait un étranger dans un clan de Yakuza… De toute façon Hiran-san serait sera sur place au cas où le gaijin serait incompétent, la Shatei-gashira n’avait pas ou sinon très peu confiance en William, serait-elle raciste ? Non plutôt élitiste… pour Okane dans sa tête les Japonais se sont les numéros un, « Nippon Ichi » comme dirait sûrement sa mère. Enfin à présent il serait temps de mettre au courant le « bleu »…


« Votre job consistera à faire cracher des informations à la policière qui est entre nos mains en ce moment même. »


Grâce à Hiran-san le clan Jumoku pourrais posséder des informations non négligeables à vendre au Sensu concernant leur mouton noir. Enfin Iori s’avançait peut être, il y avait des chances que celle qu’ils ont capturé n’était qu’une potiche bonne à être la maîtresse du commissaire… De nos jours certaines femmes agissaient de la sorte pour gagner argent et statue.

« William-san, je compte sur vous pour faire votre possible. »


Iori avait oublié quelque chose.


« Je compte sur vous pour m’amener sur place pour assister à l’interrogatoire. »


La Shatei-gashira fouilla dans son sac et se saisit des clés de sa voiture de fonction. Et en un cliquetis les envoya à William. La femme se leva et a pas feutré ce dirigea vers la porte du bureau, mais avant cela enfila son manteau. Elle jeta un regard insistant au gaijin pour lui faire comprendre de bouger ces fesses.


« Je vous fait confiance pour respecter le code de la route. »

[=> Baie de Tokyo]
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