Okane Iori

Prénom :Iori en Hiragana いおり
Nom :Okane en Hiragana おかね
Surnom(s):

Clan : Jumoku

Age : 27 ans
Métier : Officiellement Gérante d'un hostclub.
Orientation sexuelle : Elle préfère les femmes.

Rang souhaité : Shatei-gashira

Casier Judiciaire : Pour le moment elle n’a rien à se reprocher, Iori est comme transparente pour la police qui elle, est forcer de baissé les yeux sur ses actions. Dans sa jeunesse elle à commis un meurtre mais à pu aisément le maquillé en suicide.

Description physique : Iori a une peau blanche tel la porcelaine, comparable aux beautés Kyotoite. La peau de cette femme est aussi très douce comme des pétales, frileuse comme un vent d'hiver, et très fine, tellement fine qu'on pourrait apercevoir ses fines veines glacées. Son corps est mince, avec de belles formes généreuses, ce qui est très élégant et surtout excitant. Elle n'est pas très grande, mesure à peine le 1.75m, sauf quand elle met ses talons aiguilles.

Ses expressions sont souvent mauvaises, glaçantes, ou encore envoûtantes. Ses yeux sont brun, et plus cruels que tout, on dit qu'elle peut ensorceler un homme en un regard, malheureusement pour eux elle ne s’intéressera jamais à eux. Comme dirait Marc Lavoine « Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue. »

Elle a des lèvres fines et de couleur rose pâle, des lèvres à croquer ! Dans celle-ci se trouve de charmantes dents blanches, ainsi que des longues et fines canines tranchantes comme un fil de rasoir. Elle a de longs cheveux fins et très brun ou de la couleur d'une sculpture en bois d'ébène. Ils sont doux comme la soie et coupé assez court.

Son corps mince met en valeur certains de ses membres ; une poitrine bien dessinée, ni trop grosse, ni trop petite, juste Parfaite. Des mains fines, élégantes, et mortelles, dites assassines et souvent décorées de bagues, mitaines, et vieux bracelets. Un ventre presque inexistant, bien sculpté, un cou fin et attirant qui lui, est souvent nu, ou caché d'un gros bijoux, il ne demande qu'a être couvert de baisers ardents d’une compagne passionné. Des fesses bien rebondies et fermes de même pour ses longues et fines jambes sublimes.

Sa démarche est aussi très spéciale, discrète, et elle accentue ses pas quand elle veut attirer les regards. Elle s'habille de façon très élégante, mais toujours de couleurs sombres ou ternit. Son allure est noble, elle ne fera jamais un geste de travers et restera gracieuse à n'importe quel moment.


Description psychique : Depuis sa plus tendre enfance, Iori ne s’était consacré qu’a ces études et ne laissait pas souvent la place aux amusements et joie de l’enfance. D’une extrême Intelligence, méthodique et entreprenante elle est appréciée de beaucoup de personne. Au départ elle était d’une naïveté criminelle, elle se laissait marcher dessus par ses autres camarades et faisait en sorte de toujours aidé les autres qui bien souvent n’étaient pas souvent des plus reconnaissants. Mais depuis le certain événement quel à subi, Iori à du devenir plus dur et cruel face à la réalité et au monde qui l’entourait.
Elle n’en à pas pour autant perdu toute humanité, cette femme peut avoir accès à des actes de bonté, pourtant cette personnalité n’est pas en accord avec ses activités me direz vous ? Qui à dit qu’elle aimait ce qu’elle faisait ? Elle a appris à se détacher des choses qui pourrait la ralentir, mais qui sait un jour peut sera-t-elle accablé par ces actes. Iori est consciente de ces actions et ne tombe pas dans l’hypocrisie, tout ce qu’elle à obtenu et tout ce qu’elle entreprend se fait au détriment de vie humains, cela la fait souffrir, cependant elle ne le montre pas. Elle ne peut se le permettre car elle se serait comme revenir à ce 11 juillet et ne sera rien de plus qu’une gamine capricieuse et borné qui se prend pour une grande. . Sa beauté n’a que d’égale sa cruauté, les roses sont magnifique mais possède également des épines.
Ce qu’elle trouve le plus étrange chez elle est son penchant pour les femmes, pour elle deux être du même sexe peuvent s’aimé ce n’est en aucun cas choquant au contraire c’est beau. Sa mère Tsubame à abandonné l’espoir de la voir se marier ou encore avoir des enfants, Iori à rejeter catégoriquement les entretiens avec les hommes que sa mère à voulu lui présenter. Elle peut jouer la comédie et faire semblant d’apprécier un homme, mais dans le fond elle les déteste profondément.


Signe(s) particulier(s) : Elle porte toujours des bas assortie à son ensemble et aime porter des tailleurs Français. Elle possède divers grain de beauté sur le dos, mais il faut vraiment chercher pour aller les voirs.

Buts : S’enrichir et prendre soin de sa mère et si possible trouver quelqu’un avec qui elle pourra être elle même.

Arme de prédilection/Style de combat : Elle est quatrième dan d’Aïkido, L'aïkido se compose de techniques avec armes et à mains nues utilisant la force de l'adversaire, ou plutôt son agressivité et sa volonté de nuire. Ces techniques visent non pas à vaincre l'adversaire, mais à réduire sa tentative d'agression à néant. L'aïkido peut être considéré comme la concrétisation du concept de légitime défense : une réaction proportionnée et immédiate à une agression.

Devise ou citation : « C’est un secret. »

Histoire :

Okane Iori 14 ans – 11 juillet 1994

Après être rentrée de l’école ce jour là, Iori ne s’attendait point à ce qu’il se passera 30 minutes plus tard. Pour elle une atmosphère spécial régnait dans sa maison, l’ambiance était bien plus que pesante à cause du comportement de ses parents. Sa mère Tsubame c’était remarier après la mort de son père il y 6 ans de cela, elle n’appréciait guerre son nouveau père, mais pour l’amour qu’elle portait à sa mère Iori décida de ne rien dire. Son beau père, ouvrier de son état avait toujours la fâcheuse habitude de la toiser fixement, ce qu’elle ne supportait pas. Ce soir là encore il n’arrêtait pas de faire glisser ce regard vicieux et obscène sur elle, Iori se sentait comme mal à l’aise et agresser. Elle monta directement dans sa chambre, en fermant la porte elle poussa un immense soupir, puis s’allongea sur sont lit pour mieux pouvoir s’endormir dans l’obscurité.
Vingt minutes plus tard, du fait de son léger sommeil la jeune demoiselle se réveilla à cause du bruit qu’elle entendit à l’intérieur de la pièce. De forts bruits de respiration la firent prendre peur, Iori demanda plusieurs fois qui étaient dans la pièce. La jeune fille essaya de partir rapidement vers la porte de sortie, mais la personne se trouvant avec elle dans la chambre l’arrêta avant même qu’elle n’atteigne son but. Iori essaya de crier. Une main obstrua sa bouche ainsi l’inconnu la fit taire, elle essaya de se débattre, c’était peine perdu car cette personne était forte. Tel un sac de sable elle se retrouva projeter vers le lit. Iori fondit en larme et supplia son agresseur de la laissé partir. L’obscurité de la pièce attisa la frayeur de notre jeune demoiselle qui essaya de s’échapper de nouveau, mais elle se retrouva plaquer sur le dos sur son lit. La pauvre enfant sentant le poids de son assaillant sur elle recommença désespérément à se débattre de nouveau, quelques seconde plus tard elle sentit quelque chose s’insinuer en elle, c’est à partir de ce moment que le temps se figea pour elle.
Comme Absente, Iori ne pensait plus à rien durant les longues minutes où cet homme abusait d’elle. Ne pouvant sentir qu’une intense douleur, c’était comme si elle était sur le point d’être brisé, lorsque l’inconnu en eu fini avec elle, elle essaya de distinguer son visage qu’elle pu voir lorsqu’il ouvrit la porte pour sortir sourire aux lèvres. Choqué, stupéfaite, coléreuse et bien d’autre sentiment l’envahir à ce moment. Iori ne savait que faire, elle resta dans sa chambre prêt d’une semaine, n’ouvrant la porte à personne, s’étant elle même verrouillé à l’intérieur. Elle ne pouvait pas faire face à cette homme pas plus qu’a sa mère. Sa mère oui, elle ne pourrait pas affronter son regard ni même lui dire se qu’il c’était passé, elle avait trop confiance en son homme pour croire sa fille. Iori réfléchi longtemps et fini par se dire que cet homme recommencerai un jour où l’autre, après tout elle n’était pas le genre de fille à se laissé faire.

Plus elle y réfléchi et plus elle dit que c’était la seule solution et si cela ratait elle en subira les conséquences. Iori fit des recherches pour bien préparer ce qu’elle avait en tête, le meurtre de son beau-père. Elle avait choisi une solution des plus facile, éliminé l’origine de son mal être, comme quoi les bas instincts des humains se manifestait même à son âge, mais elle n’est qu’une enfant et s’en rend compte. Pendant un moment elle se demandait si elle pourra vivre avec cet acte sur le cœur. Bornée et déterminé elle n’hésitera plus, mais pour ne point éveiller de soupçons, elle du se résoudre à retrouver une vie normale au lieu de resté cloîtrée dans sa chambre. Il fallait au moins reconnaître sa force de caractère.

Trois semaines plus tard, la jeune demoiselle décida de mettre son plan en marche. Néanmoins elle dû attiré sa victime sournoisement, ce qui n’était pas chose facile car la simple vue de cette homme la dégoutait plus qu’autre chose. Le sous-sol, tout se passera ici… Iori pensa à ne pas réaliser ce qu’elle avait en tête, elle pensa à comment sa mère se sentirai en perdant l’homme qu’elle aime. Après mûre réflexion elle se dit que c’était aussi pour le bien sa génitrice. Tout se passa très vite, Iori dû se donné encore une fois à son beau père pour l’amadouer et finalement l’étrangler jusqu'à ce qu’il perde connaissance. Que de plaisir et de satisfaction ressentit, rien que de serrer ce bout de tissu autour du cou de sa victime et la voir se débattre pour sa vie lui procurait une douce sensation de revanche. Mais ce n’était pas encore assez, grâce à la structure de la pièce où elle se trouvait Iori pourrait continuer son exaction des plus malsaines.

Elle accrocha un crochet en y faisant un nœud de marin pour le relié à une corde, corde qui par son autre extrémité est relié au cou de sa victime, et oui elle voulait le pendre. Pourquoi elle n’avait pas nouée la corde directement au tuyau ? C’est simple Iori n’avait pas la force de soulever un homme d’une quarantaine d’année, alors pour ce faire elle avait décidé d’utilisé une astuce qu’elle avait appris sur internet. La jeune demoiselle c’était procuré des Jerrycans et ainsi que des tuyaux. Iori fit passer la corde par dessus le tuyau du plafond et ensuite elle accrocha à l’autre extrémité de la corde les fameux jerrycans d’eau, et y inséra des tuyaux, ensuite fait couler de l’eau. Tout était enfin prêt, maintenant le plus dur restait à faire… en tournant un simple robinet Iori deviendrai une meurtrière. C’est à cet instant qu’elle imagina les mains de cet homme sur elle et son immonde chose pénétrant son être, rancunière dans l’âme et dégoûtée de cet homme elle tourna le robinet sans même regarde sa victime. Iori plaça une chaise à quelques centimètres de là où était placée sa victime. Au fur et à mesure que l’eau entrait dans les jerrycans, le poids sur la corde commençait à suspendre la victime. L’homme retrouva soudainement conscience mais il était trop tard, il périt rapidement en se débattant comme un diable à cet instant. Iori ne sentit pas qu’elle allait mieux, son beau père venait de mourir de sa main, l’homme qui avait souillé son corps n’existait plus, mais elle ne s’en sentit pas mieux pour autant.

La jeune demoiselle fit très vite et enchaîna rapidement la seconde partit de son plan, « faire penser à un suicide à cause de la gravité de ces actes. » Iori avait pris soin d’enregistrer les précédents ébats qu’elle eu avec sa victime, bien sûr elle avait vue assez de film policier pour savoir que le facteur des empreintes était décisif, elle enfila des gants qu’elle avait prévue. En essuyant consciencieusement le magnétophone elle effaça c’est propre empreinte, ensuite elle fit toucher à la victime l’appareil. Voilà qui était fait, elle coupa l’excédent de corde après le crochet, ce qui fit que le crochet s’accrocha au tuyau et elle jeta l’eau qui faisait office de contrepoids.

Voilà, à présent tout était terminé, la dernière phase du plan consistait à aller chez une amie et y passé un maximum de temps pour ensuite retourner dans la maison et faire en sorte de découvrir le corps la première.

Quatre heure plus tard, Iori rentra de chez son amie Fukuyama Chisame, chez qui elle c’était rendu pour pouvoir se fournir un alibi, les sourires forcer et les jeux idiots de Chisame l’énervait au plus haut point. Normal après un tel acte… La peur d’être découverte la rongeait et elle n’était pas d’humeur à jouer. Lorsqu’elle entra chez elle alla ouvrir la porte du sous sol et se rendit dans la pièce ou tout c’était passé et poussa un immense cri. Tout se passa pour le mieux, après avoir appeler la police qui ne tarda pas à pointer le bout de son nez, Iori fit son jeu d’actrice, le rôle de la petite fille choqué lui allait à ravir.

30 juillet 1994

Les circonstances du suicide du père d'Okane furent surprenantes pour leur entourage mais se ne fut pas le cas pour la police qui avait mené sa petite enquête, car d’après elle il était connu des services pour avoir agressé des enfants il y a vingtaine d’année. Facteur qui n’était pas pris en compte de base dans la mise en scène de la petite Iori mais qui finalement l’arrangeait bien. Elle se voyait à présent comme une sorte d’instrument de vengeance du destin. Les faits officiels qui indiquent le suicide du père Okane était qu’il se sentait coupable d’avoir abusé de sa belle fille et qu’il ne pouvait plus voir sa femme en face. La mère de la jeune fille ne sentit plus à l’aise dans son quartier et déménagea à cause de cet incident, car elle était vue à présent comme la femme qui avait mis délibérément sa fille en danger. Bien sûr sa fille lui dit que se n’était pas de sa faute et qu’elle n’était point une mauvaise mère, ce qui était vrai, Iori aimait beaucoup sa mère et lui en tenait point rigueur.

Okane Iori 20 ans - 01 février 2000

Depuis tous ces événements, Iori avait évolué de façon normale, mais il y avait quelque chose qui n’allait pas, elle déteste les hommes et n’a jamais eu de relation amoureuse avec l’un d’entre eux. Elle savait que c’était dû à ce que cette homme lui avait fait, son psychiatre lui à rapporté que c’était dû à ce traumatisme et qu’elle identifiait les hommes en général à son agresseur.
Malgré ces longue et couteuse thérapies, Iori n’était pas capable de surmonter son dégoût pour la gente masculine, du coup elle avait décidé d’abandonner tout espoir de fonder une famille où d’aimé un homme.
Dorénavant elle se concentrait sur ces études, la jeune femme avait réussi à intégrer l’université de Waseda qui pour elle était assez bien placé en ce temps là. Iori ne voulait plus encombrer sa mère car les dépenses pour intégrer son université ont été effectuées par elle.
Iori avait choisi une filière professionnelle, Ecole d’administration d’affaires. En effet elle aspirait à ouvrir son propre commerce, ce qui ne semblait pas être chose facile dans l'arrondissement de Shinjuku.

En y restant près d’une année Iori à pu remarquer le vice qui animait cette partie de Tokyo en pleine soirée, elle fut même remarquer par les patrons d’host club du quartier. Et c’est ainsi qu’elle connue la dépravation, avec la perspective d’un baito (son un job d’étudiant) elle n’eut pas d’autre choix que de rejoindre un bar en tant que serveuse où malheureusement pour elle qui n’était pas chanceuse avec les hommes qui eu beaucoup de succès grâce à sa présence. Subissant toutes sorte de harcèlement sexuel pendant plus de six mois, Iori encaissait et ignorait les instigateurs tout en respectant le code de conduite de son lieu de travail, c’est à dire « ne pas décevoir le client ». La jeune ne pouvait pas perdre son travail et ne voulait pas se résoudre à demander un quelconque financement de la part de sa mère.
Le destin n’en avait pas fini avec Iori et lui imposa d’avantage d’épreuve, il s’avérait que le bar où elle travail appartient au clan Yakuza du coin. Qu’elle ne fut pas son malheur quand elle entendit que si elle voulait garder son emploi elle devait « faire des heures supplémentaires » en tant qu’hôtesse pour le grand patron, là encore elle n’eut pas le choix Iori pouvait aisément comprendre le mode de fonctionnement des gens du milieu, même si elle démissionnait Iori ne serait pas capable de retrouver du travail dans l’arrondissement de Shinjuku, elle qui était étudiante ne pouvait se permettre de travailler loin de chez elle et de son Université.
La jeune femme accepta avec dépit l’offre de son employeur si l’ont peu appelé cela ainsi, ce qui la motivait un peu était que la paye serait d’ordre substantielle et la pratique de l’enjô kôsai était très répandu en cet ère et n’aboutissait pas souvent sur des services d’ordres sexuel. Son patron de l’époque prénommé Takeshi lui assura qu’il ne s’agissait pas de ce genre de chose et que la vertu des jeune femmes à son service était préserver.
C’est ainsi que Iori fit la connaissance de Genma Jumoku, qui malgré son air taciturne est assez intéressant. Ayant fait des recherches sur la jeune femme, le Boss su comment se comporter avec Iori et ils ont commencé par un échange de bon procédé ; La jeune femme l’accompagnait à ces réunions et il la payait pour qu’elle joue les potiches, cela restait platonique.

1er Avril 2004

Iori fini ces études et obtint son diplôme de gestion d’entreprise et commença à chercher une boîte dans laquelle travaillé comme gérante. La jeune avait su garder un certain nombre de connexion avec le clan Jumoku qui semblait réticent à l’accepter en premier lieu. Mais Takeshi son ancien patron qui gérait le bar/host club venait subitement de prendre sa retraite et quelqu’un sortant justement à la fin du cycle de ces études tombait bien.
Iori ne savait pas ce qui l’attendait en acceptant se job qui ne serait qu’un tremplin dans son ascension dans le clan Jumoku.
Les mois passèrent et la boîte était toujours debout, grâce à des idées nouvelles et son sens des affaires Iori fit beaucoup de bénéfice, plus que l’ancien gérant n’en avait jamais fait grâce à des concepts novateur se concentrant sur « le service au client ».
C’est ainsi que la gestion d’autres affaires lui ont été confié, des choses qu’elle même n’aurait jamais imaginé.
Elle ne pouvait plus se soustraire à son job dans la famille désormais ont l’avait à l’œil, l’Oyabun Genma Jumoku ne pouvait plus se passé d’elle, qui devint un conseiller financier des plus important.

4 Mars 2008

Les choses avaient changé pour elle, son train de vie, ces occupations et sa morale fut des plus amoindrie en exerçant son métier. Chaque jour elle faisait des choses qui pouvaient l’amener derrière les barreaux. Jouissant de la protection de l’Oyabun et de la famille Jumoku, Iori ne se sentait pas bien pour autant. Obligé de porter un masque de dureté et sans émotion, elle finit un peu par devenir le personnage qu’elle jouait, le mal qu’elle faisait, elle en est consciente, malgré cela elle continu sa descente aux enfers sachant qu’elle ne peut plus revenir de l’autre côté de la barrière.

Désormais en tant que Shatei-Gashira elle prendra son rôle à cœur…

Inventaire :

- Tailleur haute couture d'Yves Saint Laurent
- Sac à main GUCCI
- Un téléphone portable avec connexion à internet
- Une MINI COOPER, modèle décapotable

Je te hais... car je n'ai rien à dire à propos de ta fiche... je ne peux même pas te bouffer Okane. T'est donc très naturellement validé, mais je ne te souhaite pas la bienvemue, car c'est plus ou moins inutile de le faire XD