Rencontre inopinée. [Pv Sawada]

[

Restaurant français]

Il faisait nuit noir, du moins c’est l’impression qu’elle avait. Il était pratiquement une heure du matin. Assise sur les marches de l’opéra, Iris observait le sol d’un regard vide, elle était comme inerte. Ses bras entourant ses longues et fines jambes. Elle frissonnait, est ce que c’était de froid ou de peur ? Ce n’était pourtant pas le moment pour elle de rester là, si un policier passait par ici... Portant son uniforme, chaussure noire ciré, avec des socks, une jupe noire à rayure rouge lui arrivant juste un peu au dessus des genoux, une veste noire, une chemise blanche et un ruban rouge. On pouvait voir que quelque chose n’allait pas. Sa chemise avait été déchirée ainsi que sa veste. Elle ferma un instant les yeux, la jeune fille avait l’impression que son cœur allait lui sortir par la bouche. Elle posa sa main sur son visage.

Alors qu’elle s’apprêtait à aller au travail, trois garçons de son école l’on coincé au détour d’un couloire, ils l’observèrent un moment avec un sourire amuser, lui posant des questions qui n’avait pour elle aucun sens, jusqu'à ce qu’il lui demande si elle était réellement une escorte girl. Puis ils l’emmenèrent de force dans une salle. Deux jeune homme la tenait fermement, tandis que le troisième c’était approché d’elle, elle essayait de se débattre, de s’enfuir ce qui lui value des vêtements déchirés et une gifle. Le garçon qui était face à elle et qui avait l’air d’être le chef, ne s’était pas privé pour la caresser à des endroits assez intimes… D’ordre privé… Serrant les dents, les jambes, les yeux. Prisonnière Iris n’avait pas dit un mot, jusqu'à ce qu’il ouvre sa chemise violement elle s’était alors mise à crier et se débattre à nouveau. Ce qui attira l’attention d’un professeur ou du concierge, elle ne savait pas trop. La surprise était de taille, personne n’osait bouger, Iris fut la première. Elle s’empara de ses affaires et c’était tout simplement enfuit. Comment me direz-vous. Elle ne le savait pas trop.

Elle avait ensuite errer dans les rues de la ville, ne sachant pas trop ce qu’elle faisait, où elle était, Iris en avait plus qu’assez de ce pays, de son travail, de tout ce qui l’entourait. Elle avait envie d’être seule, marre de tout ces vieux qui demandait sa compagnie, de tout ces jeunes qui pensait qu'elle n'était qu'une prostituée et rien de plus. Elle n’avait pas envie de travaillé ce soir, elle n’irait pas. Son portable sonna à plusieurs reprises, elle ne répondit pas évidemment. Lorsqu’elle en a eut assez de marcher, elle s’était assise sur les marches de l’opéra, ne sachant pas trop où elle était. Est-ce qu’elle devait appeler Tensui ? Non, il devait surement être entrain de travaillé, elle ne va tout de même pas le déranger.

La jeune femme retint un sanglot, le premier depuis longtemps, celle-ci avait l’impression que cela faisait une éternité qu’elle n’avait pas pleuré un bon coup. Cependant elle n’arrivait pas à ce laissé totalement aller. Le visage offert au ciel, les yeux fermés, la jeune femme prit une longue inspiration, en passant sa main dans ses longs cheveux couleur ébène et soyeux. Après un moment, elle se leva, prit son sac noir contenant ses affaires scolaires et commença à marcher doucement les yeux rivé sur le sol, reprenant sa perdition dans ce monde inconnue, qu’elle aimerait fuir, elle aimerait tellement revenir en arrière. Et si elle était allée avec ses parents en Australie, elle serait surement restée avec eux. Elle n’aurait jamais été chez son oncle, elle n’aurait jamais été vendue, elle n’aurait jamais connue Iori, elle ne serait jamais venue ici.

Elle entra alors en collision avec quelqu’un, la jeune femme tomba sur le sol, lachant son sac qui valsa un peu plus loin, ses fesses amortir le choc. La surprise passer, Iris leva son visage pour poser ses yeux aux couleurs lagons emplie de larme sur un homme d’origine japonaise, très grand, les cheveux brun, les yeux sombre et froid. Elle allait s’excuser lorsque son regard rencontra le sien, pétrifier, perdant ses moyens, ne sachant plus quoi dire, elle resta là. La bouche entrouverte, cherchant ses mots qui fuyait, qui ne voulait franchir ses lèvres. L’air lui manqua un instant, elle rougie légèrement, son cœur se serra. L’escorte inspira doucement, se leva, avala difficilement sa salive et dit doucement :

"Je suis désol..."

La jeune femme se tut, elle venait de s'adresser à cet homme en français, elle baissa un instant les yeux avant de reprendre de nouveaux mais cette fois en japonais :

"Je… Je suis désolée monsieur… Je ne vous avez pas vu… Je n’ai pas regardé où j'allais. Je…"

Elle sentit alors quelque chose coulé sur son visage, elle passa doucement sa main sur sa joue. Une larme… Une autre coulait sur l’autre joue. Un petit sourire contrit se dessina sur ses lèvres, qu'elle mordilla par la suite, nerveusement. Elle essuya ses larmes en vitesse et dit doucement :

"Je suis vraiment désolé monsieur, pour vous avoir bousculé et… Hum pour cette petite crise de larme, je ne voudrais pas que vous soyez embarrassez à cause de moi…"

Elle s’inclina en espérant que l’homme ne lui en tiendrai pas rigueur, elle en avait oublié son accoutrement qui n'était pas du tout présentable.

Le soleil se lèvera très bientôt et notre Saïko-komon n'a toujours pas été se coucher, une autre nuit d'insomniac. Sawada-dono a le sommeil plus ou moins agité depuis l'arrestation de Sensu-dono, son grand-père... enfin son grand-père... rare sont les gens qui savent qu'ils sont actuellement liés par le sang. Hormis le clan, il y a que très peu de gens qui sont au courant... de toute façon, jamais les deux hommes ont utilisé des formalités de type familière lorsqu'ils parlaient de l'un ou de l'autre ou parlaient entre eux... c'est simplement une habitude qu'ils ont pris et rien de plus. Celui-ci avait travaillé jusqu'à trois heures du matin sur les affaires du Casino, pour aller chez lui vers trois heure trente... naturellement vers quatre heure trente il ne dormait toujours pas, voilà pourquoi celui-ci a décidé de faire une petite balade nocturne à pied et non en voiture. Cela pourrait potentiellement l'épuiser à un point tel qu'il sera incapable de combatre le sommeil et dormira. Ce n'est pas vraiment le stress qui fait qu'il ne dors plus... simplement ses rêves... ou plutôt ses cauchemards... enfin rien ne sers d'entrer dans les détails de ce qui ce passe dans la tête de Sawada-dono lorsqu'il essai de se perdre dans les bras de Morphée. Dernièrement, même Morphée ne parvient pas à faire en sorte qu'il a un sommeil paisible.

Bref, revenons-en à ce qu'il fait et non à ses rêves. Quel heure est-il déjà? Quatre heure trente selon la montre du Saïko-komon et Tokyo de dors toujours pas... à vrai dire cette ville ne dors pratiquement jamais. Certains quartiers sont plus agités que d'autres à certains moments, mais c'est tout, la ville est soit illuminé par le soleil de plomb ou bien par les lumières de la ville, mais très rarement la ville est entièrement plongé dans le noir. Même la nuit, à cause des lumière le ciel ressemble presque à celui du jour, sans étoiles. Une nuit à Tokyo n'a rien à voir avec une nuit loin de la cité. Vivre de nuit dans ce qui était anciennement appellé Edo est aujourd'hui un nouveau rythme de vie aussi mouvementé que la vie en plein jour... mais bien plus dangereuse. Heureusement, le Saïko-komon ne sortait jamais sans son arme... et de toute façon... que les criminelles les plus fous peuvent songer à s'en prendre à lui... car la plupart sait qu'il est malgré ses apparences un des protagonistes les plus dangereux. Oh n'allez pas croire qu'il est un manic et qu'il va attaquer n'importe qui.... le katagari, soit le bon citoyen... celui ne faisant pas parti de la pègre... n'étant pas un Yakuza, ce genre de personne là est en sécurité près du Saïko-komon, car traditionellement il ne leur fera jamais du mal, cependant les crétins de bandits, les violeurs... enfin la vermines quoi eux ne sont point à l'abrit. Pourquoi ce faire du soucis quand on est craint pas les criminelles? Enfin mieux vaut être prudent et avoir une arme sur soi non? C'est ce que Sawada-dono pense puisqu'il est aucunement accompagné par les gros bras du clan... de toute façon il se débrouille bien pour un "bureaucrate".

Cette petite balade lui permet de mieux penser, de faire plus ou moins le vide dans son esprit. Dernièrement tout ce qui l'occupe c'est le dossier de son Oyabun... car un traitre a fait en sorte que celui-ci est à présent en prison. Il n'a pas le temps de se remémorrer ses parents qui sont morts sans que les coupables furent punis. Sawada est certes un criminel, mais il existe à ses yeux deux types de criminels... le bon criminel... celui qui respect les gens honnêtes, qui respectes des principes et il y a le mauvais criminels... celui des bas quartiers... sans principes et près à attaquer les gens honnêtes, violer les jeunes filles, les pédophiles... enfin vous voyez le genre... ça c'est le genre d'être qui répugne Sawada-dono... le genre d'être que ce dernier n'hésite pas à faire éliminer pour ne pas vraiment se salir les mains. Un Saïko-komon avec les mains tachées de sang ne peut aider son Oyabun devant les tribunaux. Il ne peut rien faire devant la justice qui est si souvent injuste. Alors que les gens croient que les Yakuza sont des truants... Sawada-dono lui sait que ce n'est pas le cas... le système est le pire des bandits... il rend les gens pauvres... les Yakuza eux conservent leur honneur et la plupart aide le bon peuple. Malgré sa froideur, le Saïko-komon est en la faveur d'aider les katagari, les gens bien.
C'est en déambulant dans les rues de Tokyo qu'il est souvent le plus dégoutés lorsqu'il voit la ville. Certains blâmes les Yakuza pour ça, mais les coupables c'est le systèmes qui ne sait pas comment faire justices, les gens n'ont plus d'honneur! Pour aider les bonnes gens, les Yakuza doivent être contre la loie, devenir des criminels. Le monde est devenu bien triste, mais tel est la vie. Son père croyait que la famille Sensu pouvait améliorer la vie des gens de Tokyo... c'est pour cela qu'il c'est donné corps et âme à Sensu Harada et il est mort avec son honneur de Yakuza. La mère de Sawada aussi avait cette philosophie, la même que son père d'ailleurs! Il s'agit là de la philosophie des Sensu. Le blanchiment d'argent sers certes à enrichir la famille, mais ce n'est pas pour autant qu'elle ne donne pas au honnêtes gens dans le besoin.

Perdu dans ses songes, il entra en colision avec une personne. Était-ce de sa faute? ou de celle de l'autre? On s'en fou un peu nom? En fait, vu la situation, vu l'impact ce serait l'autre personne, car elle a percutée le Saïko-komon dans le dos. Bref dès l'impact qui le fit sortir de ses songes, il se retourna pour appercevoir le visage d'une jeune Gaijin. Elle ne devait pas être plus âgé que vingt ans et n'était naturellement pas japonaise. Un magnifique visage ovale et des lèvres rosés, une jolie crinière, mais ce n'est rien de cela qui frappa le Yakuza, c'est son regard. Le regard gênée et terrifié de la jeune fille... son regard bleuté qui affichait l'embarras et la peur. Sans doute la carrure du Yakuza n'aidait pas... encore moins son visage inexpressif et son regard des plus sombre et profond. Avait-elle peur de lui? Ou était-ce quelque chose d'autres? Les premiers mots qu'elles lui dit étaient dans une langues qui lui fut étrangère, puis elle s'exprima en Japonais afin qu'il puisse comprendre. Elle s'excusait, demandait miséricorde pour cela, elle pleurait même. Cependant, quelque chose disait a Sawada que la raison de ses pleures n'est pas uniquement dû à leur rencontre des plus... brutale. Ce n'est qu'en observant le reste de sa personne qu'il pu voir son état. On aurait dit qu'elle avait été brutalisé... attaqué... violée... la pauvre... enfin la pauvre... il ne connait rien d'elle, mais selon lui aucun homme n'a le droit de violer une femme ni même de la brutaliser. Capativé par elle, il oublia quasi ce qu'elle lui disait. Sans dire le moindre mot, il lui tendit simplement la main et l'aide à ce relever sans la quitter du regard. Il voyait son sourire, mais voyait ce qui ce cachait derrière ce sourire qui n'était qu'un masque. Les premières paroles qui sortirent de la bouche du Yakuza ne concernait même pas l'inscident qui venait de se produire.

"Que vous est-il arrivé?"

Il la regardait silencieusement, attendant une réponse franche et honnête... si elle mentait, il le saurait... ses yeux, ses magnifiques prunelles ne pourraient mentir. Il lui aurait bien prêter son blazer... mais celui-ci était ce qui cachait son PT92... sont pistolet.

Le silence s’installa, après que le jeune homme l’eut aidé a se relevé, elle le regarda un moment, tandis qu’il scrutait son accoutrement peu présentable, qu’elle avait oublié d’ailleurs, contemplant cette homme au charisme si imposant. Mais bizarrement Iris n’avait pas peur, en tant normal n’importe qui aurait fuit, surtout après ce qui s’est passé à l’école. La chance l’avait sourit jusqu’ici, personne ne l’avait harceler. Et maintenant elle bousculait cette homme qui analysait chaque détaille. Elle entendit alors une voix grave et douce s’adresser à elle, faisant allusion non pas à l’incident, mais à ces vêtements déchirer. Elle le regarda un instant surprise avant de se regarder, sa veste qui n’était qu’à moitié attaché par manque de bouton, laissait entrevoir une chemise déchirer donnant pile sur la naissance de ses seins. Elle rougit, se morigénant mentalement pour ne pas avoir fait plus attention à son accoutrement, la jeune femme toussota et dit doucement, légèrement gêner :

"Ce n’est pas très grave… Je… Je ne voudrais pas vous dérangez avec mes histoires… Mais puisque vous le demandez… Je me suis battue avec… Avec des jeunes filles d’une autre école… Pour une histoire banale. Comme ca arrive souvent…"

Ces yeux rencontrèrent ceux du jeune homme, sombre et froid, gouffre dans lequel elle plongeait en silence, elle se sentait troubler, c’était la première fois qu’un homme lui donnait cette impression. D’autant plus qu’elle venait de lui mentir… Pourtant il n’avait rien de chaleureux, c’était sans doutes sa classe qui lui donnait cette effet. Car oui en effet c’est une chose qu’elle avait remarqué lorsque son regard c’était posé sur cette homme à l’air distant, son charisme et sa classe. Et surtout de son point de vue, il n’était pas dépourvu de charme. Elle détourna le regard à cette dernière penser, rougit de nouveau et reprit :

"Mais dites moi plutôt est ce que vous n’avez rien… je ne vous ai pas fait mal ?"

Posé une question pareil à un homme de cette carrure, la jeune femme se rendit compte de sa question totalement stupide. Puis soudain une peur irraisonné la prit. Et si cet homme était comme les autres, et si lui aussi se mettait à penser qu’elle ne valait pas mieux, que ce qui lui arrive était normal… La jeune femme se mit à trembler doucement, elle referma ses mains sur son corps. Elle posa de nouveau son regard terrifier sur l’homme, puis jugea qu’elle se fourvoyait, elle ne savait pas pourquoi, mais il n’avait pas l’air d’être du genre à faire cela, non c’était même tout le contraire. Mais elle ne le connait pas et ne pouvait en être sur. Elle essaya de penser à autre chose… Son sac… Iris se mit à regarder autour d’elle, cherchant son sac :

"Ah mon sac… Comment je vais faire pour mes devoirs si… Je ne le trouve pas… ?"

Retournée à l’école ? Le devait-elle vraiment ? Son esprit se figea tandis qu’elle observait son sac un peu plus loin sur la route. Devait-elle vraiment retourner à l’école ? Le désirait-elle réellement après ce qui s’était passé ? Est-ce qu’il ne recommencerait pas ? Peut être même réussiront-ils leurs coup. Elle se mit alors à marcher comme dans un rêve pour récupérer ce sac, qui réveillait tant de question, occultant tout ce qui l’entourait, complètement perdu. Puis elle s’arrêta soudainement. Et que fera Okane lorsqu’elle retournera à la chattes noires ? Allait-elle la jugée ? Ou la punir pour son travail manqué ? Après tout elle n’était qu’une marchandise. Tant de question sans réponse.

Iris revint dans le monde présent, regardant autour d’elle, la jeune femme se remit face a son interlocuter et l'observa. Un sourire confus se dessina sur ses lèvres :

"Pardonnez-moi… j’étais perdu dans mes pensées… Encore une fois je suis désolé de vous avoir bousculé, vous avez dit quelque chose ?"

Des larmes coulèrent à nouveau sur son visage, mais cette fois elles ne s’arrêtèrent pas, finalement elle éclatât en sanglot, elle en avait assez, elle n’arrivait pas a se retenir, elle avait mal, elle se sentait sale. Elle ne s’appartenait plus, quel importance qu’elle pleure devant un inconnue. Pour une fois depuis qu’elle avait été vendue, elle pouvait bien se laisser aller. Elle était seule dans un pays où elle n’avait que pour fonction : être escorte girl, indic de la police qui l’a faisait chanter lorsqu’ils avaient besoin d’elle… Qu’est ce qui l’empêchait de tout abandonné ? Iori a qui elle devait d’être encore d’être libre d’aller à l’école, de prendre certaines décisions, ce qui ne voulait pas dire que son corps n’appartenait pas a sa patronne…

Les rencontes soudaines après qu'une personne ait accidentellement bouscullé une autre sont généralement assez fréquente dans les rues de Tokyo. Certains se laissent emporter par la colère et un incident mineur se transforme en une bagarre tandis que d'autres sont plus civilisés, quelques excuses et cela suffit. Celle-ci par contre... elle ce fut dans le plus grand des respect... enfin les excuses venait uniquement de la jeune fille qui avait percuté le Saïko-komon, mais contrairement à plusieurs hommes "d'importances", celui-ci ne s'était aucunement énervé. La plupart des hommes d'affaires sont trop pressé, ils ne savent pas s'arrêter et peuvent parfois être rude avec les gens alors que ceux-ci ne leur ont absolument rien fait. Sawada-dono lui n'est pas rude... enfin si ont met à part son éternel froideur avec les gens, il ne leur manque jamais de respect et encore moins lorsqu'il s'agit d'une katagari. Celui-ci s'était contenter de la regarder en silence, plongeant son regard sombre et profond dans le magnifique bleu verdâtre de la jeune gaijin. À la voir, elle ne devait pas avoir plus de vingt ans, son magnifiques visage était l'emblême de sa jeunesse, cependant ses prunelles elles racontaient une toute autre histoire. Attentif au moindre détail, en quelques secondes notre Yakuza avait annalysé la jeune femme de la tête aux pieds et cela dans les moindres détails visibles.
Les boutons manquants, la chemise déchirée révélant ce qu'elle a pour devoir de cacher en temps normal, Sawada-dono pouvait observer un peu plus que ce que les vêtements dévoilent normalement. À moitié déchirée, pour une personne observatrice, il était faciile de voir une partie de la poitrine de la jeune femme, cependant, n'allez pas croire que les prunelles du Saïko-komon étaient rivées sur cette partie d'elle. Il la regardait dans les yeux, détournant son regard du magnifique corps, de la séduisante poitrine encore très ferme de la gaijin. Il faisait la lecture de son âme en regardant ses prunelles devenues aussi brillantes qu'un mirroir à cause des larmes. Elle avait pleurée et elle pleurait toujours malgré tout. Même si les larmes ne coullaient pas, elle pleurait, il pouvait le voir. elle essayait de cacher quelque chose, se montrer forte. Lorsqu'il la questionna sur ce qui c'était passé, le Saïko-komon eu droit à un mensonge.

Non, Sawada-dono n'est pas un devin et il n'est pas déjà au courant de ce qui c'est passé, mais il sait très bien que l'histoire d'une bagarre entre filles ne tient pas debout. Il aurait falut qu'il soit sot ou qu'il ait trop bu pour voir clair pour ne pas voir qu'elle mentait. Elle était gênée, était-ce parce qu'elle savait qu'elle lui racontait un mensonge ou bien c'est simplement l'ensemble de l'apparence de Sawada qui lui fait cet effet là? Cela est sans importance pour l'instant, il voulait savoir ce qui lui était arrivé. Bien qu'elle soit qu'une étrangère, la moralité et l'éthique adopté par le Saïko-komon fait en sorte que malgré sa froideur, il ce fait plus ou moins du soucis pour la jeune fille. Effectivement, malgré sa froideur, le Yakuza n'est pas un être qui ce fout de tout. Il possède un très grand sens de la justice pour un criminel. Malgré sa classe, il veut le bien du bon peuple. Sawada-dono est distant pour leur bien, il ne les approches pas trop, il ne s'ouvre à personne afin que personne ne soit blessé ou meurt à cause de lui... enfin cela est une toute autre histoire, mieux vaut ne pas entrer immédiatement dans cet aspect de sa personnalité et revenir à la scène ayant plus ou moins attiré l'attention de certaines gens dans la rue.

Observant ses vêtements, il se doutait qu'il s'agissait peut-être d'un viole ou d'une tentative de viole... car une bagarre entre filles n'aurait jamais fait en sorte que ses vêtements seraient déchirés ainsi. De toute évidence, quelqu'un ou des gens ont voulu profiter de cette jeune fleure, la voyant comme un objet pouvant les satisfaires sexuellement. Elle serait devenu l'objet des gens tordus, primitif et n'ayant aucun respect pour une femme aussi magnifique et d'apparence si pure. En son regard, le Saïko-komon avait pu voir une certaine puretée ainsi que plusieurs événements du passé lui ayant dérobé son innoncence. Quel monstre peut faire cela? Le même genre de monstre qui assassine les parents d'un jeune enfant, le même genre de monstre qui courrent les rues sans connaître le sens du mot honneur et justice, le même genre de monstre qui peut autant être un truant des bas quartiers qu'un policier corompu et aveuglé par son autorité.

Elle le questionna, mais il ne répondit pas immédiatement, cependant il ne s'éternisa pas non plus dans le silence. La sombre voix du Saïko-komon ce fit une fois de plus entendre lorsqu'il lui donna la réplique... une réplique qui fut futile, car de toute évidence elle était trop distraite... trop ailleurs pour l'entendre.

"Nul besoin de se soucier de moi... mais je ne peux pas dire la même chose pour vous..."

S'il avait eu mal, mais quel question idiote. Vu la carrure de Sawada et la taille de la jeune femme, la question ne se pose même pas. Il n'est certes pas le plus costaud des hommes, mais il en faut tout de même plus que ça pour le blesser, par ailleurs, c'est elle qui est tomber sur le sol suite à l'impacte qui a causer leur rencontre.

Elle cherchait son sac, enfin, c'est ce qu'il cru comprendre en la regardant chercher partout, cependant cela semblait être qu'un prétexte pour oublier quelque chose d'autre, pour oublier ce qui c'était passé un peu plus tôt peut-être? Enfin, elle fini tout de même par retourner aux excuses, lui demandant pardon pour l'avoir bousculé. Durant un instant, il la vit sourire, un jolie sourir qui aurait pu en tromper, mais pas Sawada, il n'est pas né de la dernière pluie, il sait lire les regards. Un visage est un masque, les sont un mirroir. Son sourir était faux, mais le mensonge ne dura pas, les larmes coulèrent à nouveau, puis les sanglots. Alors qu'elle pleurait toute les larmes de son corps, il y avait le Saïko-komon en face d'elle, le paradoxe parfait entre celle qui pleure et celui qui a pour aussi bien dire comment les humains pleures.

Du coin de l'oeil, il vit que l'inconnue était pour aussi bien dire devenue une bête de cirque. Des jeunes hommes la relookaient, d'autres étaient intrigués et se demandaient pourquoi elle pleurait, certains osaient même blâmer le Saïko-komon sans même savoir ce qui ce passe réellement... enfin... les gens... ils sont ainsi. Enfin... Sawada en avait marre de les voirs ainsi amusé devant le spectacle que leur offrait la jeune inconnue. Sans dire le moindre mot, il se penchat vers elle et attrapa fermemant son bras afin de la relever. Le tout ce fit avec une certaien douceur, rien de violent ou brutal, tout simplement ferme et rapide... innatendu. Une fois qu'elle fut debout, il retira son bras droit de sa manche et passa une parti de son blazer autour de la jeune femme tout en la serrant contre lui. Être ainsi près de Sawada-dono... c'est plus ou moins être prêt d'une pierre... car ce dernier est aussi froid malgré son geste de tendresse. Aucune émotion sur le visage de l'homme lorsqu'il la serra contre lui ainsi afin qu'ils puisse s'éloigner un peu. En marchant, il murmura froidement, mais doucement... bref dans une tonalité vocale très naturelle chez lui :
"Maintenant... raconte moi ce qui c'est réellement passé..."

Tomber a genoux, près de son sac, les larmes continuant leurs chemins sur ses joues, petites rigoles salé qui ne voulait plus s’arrêter, malgré les ordres muet de leur maitresse. Essayant tant bien que mal de stopper ces écoulements. Elle entendait autour d’elle les commentaires, elle aurait voulu les faire taire, leur dire que ce n’était pas à cause de son interlocuteur qu’elle pleurait, qu’il n’avait rien avoir avec ses soucis, bien au contraire, il essayait de l’aider. Mais elle n’y arrivait pas, elle ne pouvait que sentir les regards brulant de curiosité sur elle. La jeune femme avait tellement honte, pleurer ainsi, apporter des problèmes à cette homme. En même temps, cela lui faisait tellement de bien, pouvoir libérer tout ce qu’elle avait sur le cœur, exorciser, sa tristesse, ses angoisse, ses peurs, ses plaintes muette, qui jusqu’ici n’étaient que des poids, et cela avec de simple larmes.

Elle sentit alors une main sur refermer sur son bras, elle releva ses yeux emplie de larme pour les posé sur la personne qui était l’instigateur de se geste, croisant le regard du classieux et charmant inconnue qu’elle avait bousculé, ses sanglot s’arrêtèrent, ne laissant que des gouttes silencieuse continuer leur parcourt. Surprise, elle se laissa faire un moment, avant d’attraper son sac, pour ensuite se levé. Une fois debout prêt de l’homme, celui-ci passa une partit de son blazer tiède autour d’elle tout en la serrant contre lui. Iris regarda un moment cet inconnu qui s’occupait d’elle, alors qu’il ne l’a connaissait même pas. C’était tellement inattendu…

Elle tint son sac a deux main, tandis qu’ils commençaient à marcher, sentant se corps chaud contre elle, Iris était rarement aussi proche d’un homme physiquement en dehors de son boulot, et même pendant d’ailleurs. Un parfum frais, doux, aux fragrances boisé, léger, pas du tout agressif, très agréable l’enveloppa, ce qui lui correspondait parfaitement, c’était apaisant, assez surprenant. Elle avait maintenant l’impression d’évoluer dans un rêve, elle n’était plus elle-même, complètement déphasé. Ce n’était pas elle qui marchait à côté de cet homme, c’était quelqu’un d’autre. Une personne qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau.

La voix de l’inconnue raisonna dans l’air, voix grave, froide, sans animosité, légèrement distante et qui pourtant ne donnait pas, aux yeux de la jeune femme, l’effet qu’il était indifférent ou réservé, avec elle. Elle essuya ses larmes en rougissant légèrement et murmura :

"Je ne devrais pas vous ennuyez avec tout cela. Puisque vous avez devinez que je vous ai mentit… Je vous dois bien la vérité. Je dois cependant avoué que mon mensonge n’était pas brillant."

Elle resta un moment silencieuse, regardant le sol tout en marchant, essayant de trouver les mots, qui fuyaient, laissant complètement sa voix dans l’incapacité de s’exprimer. Elle se mordilla nerveusement la lèvre inférieure, avant de levé son visage sur l’homme qu’elle regarda un instant, puis elle soupira et dit d’une petite voix :

"Des élèves de mon école m’ont coincé dans un couloir… Ils me posaient tout les trois des questions qui n’avaient aucun sens à mes yeux… Je ne comprennait pas pourquoi ils venaient me les posés à moi..."

Elle se tut un instant, ses mains se crispèrent sur son sac. Elle se revoyait dans ce couloir avec ces trois énergumènes et leurs question sans queue ni tête. Elle essaya de chasser ses images, ses yeux s’emplirent de nouveaux d’eau. Elle reprit des larmes dans la voix, essayant se contenir pour ne pas se donner en spectacle :

"Ils m’ont alors emmené de forces dans une salle… deux… deux d’entre eux me tenait… J’ai essayé de me défendre… Mais…Mais je n’étais pas assez forte apparemment… Une partie de mes vêtement se sont déchirer à ce moment la…"

C’était tellement dur, mais maintenant qu’elle avait commencé, il fallait finir, elle avala difficilement sa salive et continua :

"Le troisième, m’a alors giflé pour que je reste tranquille…"

Elle caressa doucement sa joue qui avait été meurtrie à ce moment là. Elle avait l’impression de ressentir cette chaleur douloureuse qui suit généralement après un coup :

"Puis il a commencé à posé… ses mains… sur moi…"

Elle s’arrêta. Un frisson glacé parcourut son échine, un sanglot franchis ses lèvres, une nouvelle crise de larme était prête à arriver. Elle inspira, afin de ne pas se laisser aller, la jeune femme s’arrêta et continua :

"Ensuite il a ouvert ma chemise… Brutalement, alors… J’ai paniqué… Je me suis mise a hurlé… Me débattre… J’avais tellement peur… Je ne voulais pas que cela arrive… Et la un adulte est entré dans la salle… Plus personne ne bougeait… Alors… Alors j’ai juste prit mes affaires… Et j’ai fuit… Le plus vite possible… J’ai eu… Tellement peur…"

Les petites perles recommencèrent à ruisselet, un sourire désabusé se dessina sur ses lèvres elle reprit de cette voix brisé :

"J’ai crue… Je n’arrête pas d’imaginer ce qu’ils auraient pu faire si… J’ai été idiote, j’aurais dut me montrer ferme et partir tout simplement quand ils ont posé leurs questions…"

Un silence s’installa après ces dernières paroles, elle essuya ses larmes de nouveau, c’était étrange pour elle de ne pas pouvoir arrêter ce flot. Puis Iris posa son regard sur son interlocuteur et murmura confuse :

"Je suis désolée pour tout à l’heure, je ne voulais pas vous embarrassez comme ça… C’est sorti d’un coup… Je suis vraiment désolée… J’aurais dut dire a ses gens que vous n’étiez pas en cause…"

Elle baissa de nouveau son regard, essayant de fixer autre chose que ce jeune homme qui avait été assez gentil pour s’occuper d’elle, afin de ne pas l’embarrasser de nouveau.

Aussi étrange que cela puisse parraître aux yeux des gens qui connaissent le Saïko-komon, en ce moment ce dernier fait preuve de tendresse envers la jeune gaijin. Les gens on l'habitude de voir ce dernier comme étant un protagoniste très froid et au coeur glacé alors il est donc difficile de voir ce dernier être affectueux... enfin être affectueux n'est peut-être pas le terme exacte. Sawada est toujours de glace malgré la tendresse de son geste. Ce dernier demeure toujours aussi inexpressif de ses sentiments, il est presque possible de croire qu'il agit comme un automate, un robot programmé pour réagir de telle ou telle façon selon la situation. Dans la cruauté ou la bonté, son visage et son regard demeure le même, froid, mystérieux, flegmatique, profond. Il est pour aussi bien dire impossible de discerner un moindre sentiment chez ce protagoniste. Certains disent que c'est de l'arogance, cependant il n'exprimme aucunement par quelconque signes phyisiques de l'arogance. Il est froid et distant tout simplement, le coeur de cet homme est un sanctuaire arcane dont nul hormis lui possède la clef... et ça c'est si il n'a pas égaré la clef quelque part dans son passé. Enfin... revenons en à la gaijin et Sawada.

Tenant la jeune femme fermemant contre lui, la réchauffant malgré sa froideur, tout deux marchaient afin de s'éloigner de la foule qu'ils avaient su susciter l'attention. Ils marchaient, mais pour aller où, cela n'avait pas vraiment d'importance pour l'instant. Sawada-dono avait plus ou moins oublié ses quelques soucis actuels, perdu la notion du temps et avait mis en oubli qu'il devrait sans doute aller au lit très bientôt car demain... ou plutôt plus tard sera une longue journée... une journée des plus typique quoi, enfin c'était son rythme de vie. Un peu de sport pour garder la forme puis beaucoup de travaille de bureaucrate, c'est ça qui arrive lorsqu'on est Saïko-komon. Depuis l'emprisonnement de Sensu-dono, le travaille a doublé et si ce n'était pas suffisant, Sawada avait à présent des problèmes de someils... enfin il est futile d'aborder le sujet immédiatement.

Attentif à ce que racontait la jeune femme, il se rendit rapidement compte qu'il avait vu juste. Il avait bel et bien s'agit d'une tentative de viol. Des monstres, oui des monstres... sans doute aussi jeunes qu'elles, des jeunes cons sans valeurs, sans respects pour la fleur qu'est cette jeune personne, des véritables enfants pourris ne méritants point de vivre l'on vu comme étant un objet pouvant leur servir. Des hommes qui pense... non qui ne pense pas, mais qui ne font qu'agir en obéissant à leur sexe qui s'excite entre leur jambes en présence d'une séduissante femme. Si jeune, si physiquement fragile, comment aurait-elle pu se défendre contre trois barbares assoiffé de plaisirs charnels. Plus elle parlait, plus elle lui expliquait ce qui c'était réellement produit, plus le coeur du Saïko-komon se remplissait de colère et de haine. Tuer les coupables serait que trop facile pour lui, il n'aurait même pas à se salir les mains, enfin ça c'est si elle lui dit qui sont les ordures ayant osé essayer d'abuser d'elle. Elle décrivait ce qui c'était passé pour aussi bien dire dans les moindres détails... et lui, il l'écoutait. Son visage toujours inexpressif, nul ne serait dire si cela l'affectait réelement... sauf peut-être la jeune femme en question lorsqu'il la serra un peu plus fort contre lui.

Lorsqu'elle termina son long monologue, en pleure et en s'excusant une fois de plus... bien que cela est des plus futile, car peut-être ne le sait-elle pas, mais elle n'a nullement besoin de s'excuser... il n'a rien à pardonner. Elle la percutée et alors? Et alors rien du tout, cela peut arriver à tout le monde. Vu sa situation actuelle il est normal selon le Yakuza qu'elle ne porte pas attention à tout ce qui l'entour. Bref... une fois qu'elle se tut, il pris doucement la parole. Bien que sa voix était douce, elle demeurait toujours aussi froide et ses mots démontrait clairement à quel point Sawada-dono est un être toujours très distant des gens... même avec les gens qu'il aime bien. Pas qu'il aime bien la jeune iconnue, bien que jusqu'à présent il ne la déteste pas non plus, c'est qu'il fut ainsi avec les femmes avec qui il a vécu par le passé, il est ainsi avec son grand-père... et avec le reste du clan Sensu... et ce n'est pas avec la magnifique gaijin qu'il serait différent.

"Cessez de vous excuser... dite moi plutôt qui vous a fait cela... et je vous promet de demain sera mieux..."

Demain sera mieux... en effet, si elle lui dit qui sont les prédateurs, il n'aura qu'à passé qu'un coup de fil pour qu'ils disparaissent définitivement de la carte. Sawada-dono possède un très grand sens de la justice... qui va souvent à l'encontre de la justice du gouvernement Japonais... car il est trop radical dans ses châtiments. Oh n'allez pas croire qu'il les va les tuer... il prendra un malin plaisir à les torturer... leur faire ressentir sur un plan physique la douleur que la gaijin a ressenti sur le plan émotionellle. Il va les torturer jusqu'à ce qu'ils décident de s'enlever la vie eux même. Bien qu'il soit aux yeux de la loi rien d'autre qu'un criminel, qu'un traficant, il reste qu'il est sans doute plus bon avec les gens honnêtes que le gouvernement. Un autre homme aurait sans doute dit à la jeune fille d'aller voir la police, mais que fera la police? Sans doute ce foutre de la gueule de la gaijin... car justement elle est une gaijin.

Sans véritablement se rendre compte de l'endroit où il se dirigeait, Sawada-dono refaisait le chemin contraire de celui qu'il avait employer avant de rencontrer la jeune fille dont il ne connait point l'identité... en d'autres mots... il retournait chez lui. Se rendant compte de cela, sans même la regarder, il pris la parole.

"Ce soir... vous dormirez chez moi... je n'ose vous laisser seul ne sachant pas ce qui peut vous arriver..."

Se fait-il du soucis pour elle? Bien sûr qu'il se fait du soucis, il faudrait être sans coeur et sans moral pour ne pas s'en faire! D'ailleurs, ils étaient déjà tout près de la nouvelle résidance Sawada... celle-ci dans Hiroo et non Shinjuku, là où les parents du Saïko-komon se sont fait assassinés.

[

Quartier residentiel ===> Residence Sawada ]

» Sawada Kioshi
» Liens Sawada Kioshi