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 Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?]

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Sairenji Haruto
The doctor Stalker
Sairenji Haruto


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MessageSujet: Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?]   Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?] Icon_minitimeJeu 8 Mai - 13:57

[Arrow Kabuki-Chô]

La voiture filait sur la route avec aisance, silencieusement, le moteur ne faisant presque aucun bruit, feu rouge, elle s’arrête, le conducteur laisse ses pensées divagué, repensant à l’appel qu’il avait reçu aujourd’hui durant sa pause déjeuner, c’était assez… Vert, plus le temps d’y pensé, il faut se concentrer sur la route, au prochain feu il faut prendre à gauche. Freine d’un coup… Tsss ces touristes, ils ne savent pas se tenir ni faire attention, ils ne font jamais comme tout le monde. Ah ce sont des américains apparemment, rien d’étonnant à leur attitude. La voiture reprend son avancé, tourne à gauche, continue tout droit, et s’arrête devant l’hôtel Conrad. Haruto attrapa sa veste descend de sa voiture, donna ses clés au jeune homme chargé de la garer, il mit sa veste. Habillé d’un costume deux pièces noires, une chemise blanche, le col légèrement entre ouvert. Il passa une main dans ses cheveux, puis passa la porte tenue par un portier. Il se dirigea tranquillement, droit, d’un pas assuré vers la réception. Posant son regard froid et pénétrant sur le réceptionniste, il dit de sa voix grave et calme :

"Kombawa… J’ai réservé une chambre à mon nom… Sairenji Haruto…"


"Un instant je vous prie…"


Tandis que l’homme cherchait, la réservation du médecin, celui-ci laissa son regard vagabondé sur l’entré de l’hôtel, très classe, limite snob à son goût, des étranger parle dans leurs langues, un sourire en coins sur les lèvres, Hau les observe. Puis il est tiré de sa contemplation par le réceptionniste :

"Sairenji-San nous avons effectivement une réservation à votre nom, vous avez demandé une suite n’est ce pas ?"

Haruto acquiesça, le réceptionniste, se tourna prit une clé derrière lui et annonça :

"Voila, c’est au cinquième étage, chambre 147, avez-vous des bagages à faire monter ?"


"Non, mais faites moi savoir quand mon invité sera arrivé…"


"Bien Sairenji-San, je vous souhaite un bon séjour dans notre hôtel…"


"Merci… Et faites-moi monté du saké…"


"Toute suite Sairenji-San."


Dit il simplement, prenant les clés, il n’accorda plus d’attention à ce qui l’entourait, il prit l’ascenseur, puis se dirigea vers sa chambre, ses pensées un peu ailleurs. Arriver devant la porte, il inséra la clé, ouvrit le panneau, pénétra dans la suite, alluma la lumière et referma doucement derrière lui. Ses yeux onyx englobèrent le lieu, déco typiquement japonaise, il s’avançant jusqu'à un fauteuil, y posa sa veste et se dirigea vers le bar, il y trouva toute sorte d’alcool. Rien d’intéressant pour patienté, un soupir franchis ses lèvres. Les mains dans les poches, il se dirigea vers les grandes baies vitré. Posant son regard sur la lune et le ciel aussi noir que l’encre, ou il n’y brillait jamais les étoiles, étant donné que celle-ci avait élue domicile en ville. Le médecin laissa son esprit vagabondé, vers cette pause déjeuné assez étrange. Il n’aurait jamais supposé qu’il l’aurait rappelé après…

On frappa à la porte, probablement le groom-service. Le jeune homme soupira, passa une main dans ses cheveux tout en se dirigeant vers la porte. Bingo s’était son saké. Il fit entrer le jeune homme apportant sa commande, il l’a déposa une table, se tourna vers Haru, qui lui donna son pourboire. Le jeune homme lui souhaita bonne soirée et s’en alla. Haruto se servit un verre, puis se plaça au même endroit, devant les baies vitrées, sauf que cette fois il posa ses yeux sur le jardin Hamarikyū, il porta son verre à ses lèvres et laissa à nouveau son esprit se diriger vers le coup de fil de ce midi.

Il avait été étonné de voir le nom de Oeda Jôan s’afficher sur l’écran de son portable, lui qui ne voulait plus lui parler depuis qu’il avait surprit Haruto avec une femme au bras en sortant d’un restaurant. Pourtant il sait bien que le médecin fréquentait d’autre personne. Mais Jôan avait la prétention de croire qu’il n’appartenait qu’à lui. Un petit rire franchis ses lèvres. D’ailleurs, il avait passé une bonne partie de la soirée au lit avec cette fille, qu’il ne fréquentait plus maintenant… Bref, depuis ce jour, il n’avait plus eut de nouvel de Jôan, normal qu’il soit surprit, il pensait que c’était la dernière fois qu’il aurait le plaisir de le voir. Le téléphone sonna… Il était arrivé. Il demanda à ce qu’on donne au jeune homme un jeu de clé. Puis il alla s’assoir sur l’un des fauteuils placé devant la table basse, non encombré par sa veste. S’installa confortablement, posant son mollet sur son genou, son coude sur l’accoudoir, un verre à la main il attendait Jôan…
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MessageSujet: Re: Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?]   Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?] Icon_minitimeVen 9 Mai - 2:04

Et tu l'avais appelé. Puis tu avais réfléchi, ensuite, après avoir entendu sa putain de voix grave au téléphone, et avais conclu que ça faisait vraiment signe de faiblesse. Alors tu avais balancé ton portable parce que t'étais dans un bad trip. Tu t'étais tapé ta petite crise et puis tu t'étais calmé. D'alcool et de cachets. Puis pour te défouler, tu avais appelé cette petite pute de Miwa pour lui faire savoir à quel point elle était insignifiante, à quel point tu abhorrais ses talons aiguilles de pétasse et sa gueule de calculatrice. Vengeance. Et elle avait chialé. Bon débarras. Tu avais rendez-vous à cet hôtel de merde, Conrad. C’était bourré de gaijins qui causaient tous dans leur saloperie de langue et chaque fois que tu y allais tu avais envie de leur balancer qu’ici on était au Japon et qu’on y parlait JAPONAIS.

Jôan comatait actuellement sur son lit, joint dans la bouche à admirer le plafond. Et il sortit de son coma pour regarder sa montre. 20h58. Il était temps. Il avait toujours une bonne demi-heure de retard habituellement à ses rendez-vous, mais cette fois-ci il décida qu’il en serait autrement. Son chauffeur attitré allait l’emmené, car Jôan ne se transportait jamais lui-même, c’était ça ou taxi. Quand on est riche, on peut tout se permettre. Il eut droit à ses remarques habituelles : « Vous devriez arrêter ce genre de choses… Vous savez comme notre pays est sévère envers les consommateurs de ce genre de produits…
- J’emmerde notre pays… Et je t’emmerde aussi… Dépêche-toi plutôt.
» Pas d’étonnement face à cette vulgarité, on s’y faisait vite.

Les yeux fermés et affalé sur sa banquette, le gamin dépravé avait gardé son joint dans le bec et il tentait plus ou moins de réfléchir à son ex et peut-être finalement futur amant qui avait le don t’attiser sa colère d’une manière magistrale. Tous les deux étaient trop semblables pour s’entendre. Mais surtout, il fallait maintenant mettre les choses au clair. Se calmer et mettre les choses au clair. Le joint l’y aidait effectivement et il avait sur le moment presque envie de s’envoler sur un petit nuage gris de fumée et ne plus redescendre. Pourtant la voix de son chauffeur l’y obligea et malgré ses quelques protestations il consentit évidemment à descendre. Aujourd’hui, pas envie de coquetterie. C’était donc simple chemise et simple pantalon (le tout à un prix exorbitant car acheté dans on ne sait quel magasin de luxe). Le jeune homme se présenta à l’accueil, dissimulant à peine son pétard qu’il se contentait de tenir dans une main plutôt que de le garder dans sa bouche.

« Chambre 147… dit-il négligemment, un coude sur le comptoir, attitude indolente qui surprit et gêna relativement le réceptionniste.
- Heu… Oui, Sairenji-San vous attend. Voilà le jeu de clé qu’il a demandé à vous transmettre… »

Jôan le pris sans dire un mot de plus, il semblait complètement ailleurs et la seule chose qui le fit sortir un tant soi peu de sa torpeur fut un étranger qui était fringué genre cosplay, mais comme Jôan n’était pas du tout otaku ni même juste lecteur occasionnel de mangas il n’arriva pas à déterminer ce qu’il cosplayait. Toujours est-il qu’il ne pu s’empêcher de lui lancer un « Baka gaijin… » tout ce qu’il y avait de méprisant. Pendant ce temps-là le réceptionniste appelait sans doute Haruto pour le prévenir de son arrivé, mais Jôan n'y fit aucunement attention. Et comme les riches sont tous des tas de feignasses incapables de faire quoi que ce soit par eux-mêmes, il délaissa les escaliers sans chagrin pour prendre l’ascenseur. Un petit cadran s’alluma avant que Jôan ne s’endorme tout à fait, et le voilà arrivé au 5ème étage. Réveille-toi coco. Apprête-toi à supporter ce connard qui ose niquer avec des bonnes femmes. Mais pourquoi est-ce que tu lui avais offert une chaîne à la con ? Est-ce que peut-être sur le moment tu avais voulu un traitement spécial ? Spécial toi ? Tu savais pourtant pertinemment qu’il ne se souviendrait pas plus de toi que toi tu ne te souviendrais de lui une fois que vous vous seriez définitivement quittés. Finalement tu ne te rappelais plus bien. Difficulté de concentration. Comme Jôan n’était pas du genre pressé il mit un certain temps à arriver devant la chambre 147. Et enfin, il entra. Il n’avait évidemment pas cogné, mais ça on devait s’y attendre car c’était une chose qu’il ne prenait jamais la peine de faire. Haruto était bien tranquillement installé dans son fauteuil et buvait bien tranquillement un petit saké. Lui avait les cheveux blancs, Jôan les yeux bleus, ils formaient un bien joli couple d’originaux. Sans même le regarder (car ses yeux étaient occupés à embrasser les lieux) il lui demanda :

« Alors, vous avez fait quoi ? Allez, raconte-moi. » Calme olympien et même petit sourire. C’était bien mieux comme ça.

« Me dis pas que tu pratiques… Kami-Sama… Le… le cunni ?... » Expression de dégoût prononcé. Et il fit comme chez lui, pourquoi changer ?, et se dirigea inéluctablement vers la bouteille de saké dont il se servit un verre qu’il descendit cul sec. « Je suis venu ici dans l’espoir peut-être de te prouver à quel point les femmes sont idiotes et laides mais c’est sans doute peine perdue. » Puis il se servit un autre verre et se dirigea cette fois-ci vers le fauteuil où se trouvait Haruto, qu’il contourna pour arriver derrière lui. « C’est pourtant tellement dommage qu’un bon coup comme toi se gâche avec des… Saloperies de femmes. » et il ajouta : « Car oui tu peux bien baiser avec des hommes je n’en ai absolument rien à foutre. » Il se pencha au-dessus de l’épaule du médecin et sa main libre vint furtivement caresser son torse après avoir déboutonné rapidement quelques boutons de sa chemise d’une main experte. Mais elle se retira bien vite car Jôan s’était déplacé pour venir s’assoir dans un des fauteuils, celui en-face de Haruto. La tête en arrière, il admirait maintenant le plafond après avoir posé son verre sur la table mais son pétard toujours dans une main. « Il ne fallait quand même pas que tu crois que je chialais comme une gonzesse, mes projets de fiançailles brisés. » dit-il avec un petit rire. Finalement Jô était assez imprévisible. Pourquoi l’avait-il réellement appelé ? Aucune idée. Il avait vu son nom, il s’était dit « Pourquoi pas ? » et il avait pris son téléphone. C’était aussi simple que ça.
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Sairenji Haruto
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MessageSujet: Re: Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?]   Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?] Icon_minitimeVen 20 Juin - 10:58

Sirotant son saké en attendant Jôan, sachant pertinemment que ce dernier prendrait tout son temps avant d’entrer dans la chambre. Le médecin ferma un instant les yeux, un sourire en coins sur les lèvres, essayant d’écouter les pas de son invité, il pouvait presque entendre son pas lent et détendu étouffé par la moquette du couloir, pour s’arrêter finalement s’arrêter devant la porte. Inséré la clé dans la serrure, tourner et entrer. Ce qu’il fit un instant plus tard sans délicatesse. Bien heureusement il lui avait fait donner les clés. Les yeux du jeune homme englobèrent la salle, tandis qu’il posait une question plutôt… d’ordre personnel dirons nous. Mais il fallait s’y attendre avec le wakashu du clan Shukon.

Haruto le suivit du regard, chaque mouvement de Jôan était observé, étudié, analysé tandis qu’il lui parlait, s’installait, tout en posant des questions sans importance à propos de cette femme. Lui qui ne s’en préoccupait plus de puis un bon moment d’ailleurs. Il restait là assit à écouter le monologue de son interlocuteur tout en sirotant son verre de saké. Le regardant avec cette air hautain et rieur qu’il avait d’ailleurs toujours possédé. Lorsque le jeune homme se tut enfin, Haru posa son regard sur son verre de saké, un sourire ironique sur les lèvres, sa joue posé sur son poing, dont le coude était posé sur l’accoudoir. A peine le Wakashu était il arrivé qu’il s’amusait déjà. Ce qui n’est pas étonnant avec Jôan :

"Bonjour Jôan… Je vois que tu es en forme…"


Dit-il d’une voix calme et douce contrastant avec son air ironique. Il but une gorgé de son verre puis s’approcha de la table basse pour se servir de nouveau. Tout d’un coup il se demanda si Jôan changerait un jour pour devenir moins… Corrosif ? Oui c’était le bon terme que certain emploierait, Haru aurait cependant plutôt dit actif et réactif par la même occasion. Revenant à sa position initiale il reprit la parole sur le même ton calme :

"Comme toujours tu poses des questions sans importance mon cher Jôan. Qu’est ce que cela peut il bien faire que je fréquente ou non une femme ?"


Il but une gorgé de son saké, sans quitter Jôan du regard, toujours aussi rieur, amusé de la situation. Il dit alors tout en se levant :

"Est-ce que c’est de ma faute si tu ne sais pas apprécier toute les choses que tu trouves sur ton chemin. Un jouet est un jouet après tout en quoi cela est il du gâchis ? Homme ou femme quel importance ? Hum mais c’est vrai que tu es misogyne, petit détail qui me sort parfois de la tête. "


Haruto s’approcha du jeune homme, but une nouvelle gorgée, regardant le jeune homme de haut, avant de reprendre :

"Si tu n’en as rien à faire que je fréquente d’autres hommes tout comme tu le fait si bien d’ailleurs. Quel importance alors que je fréquente une femme hein ? "

Il obligea le Jôan à se levé, le regarda droit dans les yeux tout en soulevant son verre au dessus de la tête de se dernier, pour finalement le retourner et le laisser couler lentement. Ses cheveux, son visage, son cou, son torse, s’en imprégnèrent doucement. Haru murmura alors :

"Pourquoi discuter de chose sur lequel nos points de vue différents, est ce pour cela que tu m’as appelé ? Ou bien est ce pour autre chose ?"


La main d’Haruto caressa doucement les lèvres du Wakashu, avant de glisser jusqu’au cou de ce dernier. Il récupéra une goutte de saké resté sur le coin des lèvres du jeune homme avant de s’éloigner pour se servir un nouveau verre. Rieur il but une nouvelle gorgé tout en observant son interlocuteur tout en passant sa main libre dans ses cheveux couleurs de neige.
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MessageSujet: Re: Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?]   Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?] Icon_minitimeMar 24 Juin - 14:02

Et il s'y m'imaginait l'horreur, se remémorant des films porno sur lesquels il avait parfois eu le malheur de tomber, voire même visionnés par ses amis qui l'avaient alors pris pour une petite nature lorsqu'il s'était aussitôt enfuit en courant... D'ailleurs il vous est conseillé de le voir dans cet état, c'est assez divertissant, très amusant de le voir enfermé dans les chiottes ou caché sous la table basse dans un état de terreur... Haruto, misérable salopard, apprécierait sans aucun doute fortement pensa Jôan. Heureusement il n'aurait jamais l'occasion de le voir dans un état pareil. Il s'en persuadait alors que ses mirettes bleues appréciaient toujours le superbe plafond blanc. Bah ouais. Devait maintenant à coup sûr être plongé dans de profondes réflexions philosophiques, vous le connaissez non ?

"Bonjour Jôan… Je vois que tu es en forme…
Toujours...
répondit le jeune homme alors que son regard ne décollait pas du plafond. "

Jôan n'est encore qu'un gamin, on espère bien pour lui qu'il va évoluer ou c'est grave... Quant à son côté corrosif, tout dépend s'il se décidera enfin un jour à faire autre chose de ses journées que de larguer des simplettes de la manière la moins délicate possible. "Dégage ! T'es laide, t'es conne pauvre pintade !" Il ne valait pas beaucoup mieux que lesdites pintades niveau culture et intelligence, il l'avouait lui-même volontiers. Con, méchant et inutile. Et on assume. Un pintadon (pintadou ? pintadé ? pintad ? ) version cruel avec ses semblables, pintades bien sûr, mais aussi dindons et autres volailles. Le médecin bôgosse (genre, vous marquez ça dans votre carnet d'adresse "médecin bôgosse, 0238..." [et si quelqu'un tombe dessus on vous prendra pour un splendide adepte de pratiques SM]) lui fit remarquer qu'il posait des questions sans importance, ce à quoi le jeune con répondit :

"Mon cher si tu n'as pas encore remarqué que je posais non seulement des questions sans importance, mais qu'aussi tout ce que je faisais de ma petite vie était complètement stérile, tu me déçois." Il était toujours perdu dans ce qui semblait être la contemplation absurde de ce qui se trouvait au-dessus de sa tête, qui pourtant n'avait rien de bien exceptionnel. C'était sans doute son cerveau en ébullition face au questionnement profond qui animait son être. (Je sais que vous en êtes tous persuadés). Haruto se leva ce à quoi Jôan ne fit pas vraiment attention puisque pendant ce temps là il appréciait son pétard, ce qui l'avait fait stopper sa réflexion métaphysique sur le plafond. Il finit quand même par poser son regard sur le médecin qui lui sortait qu'un jouet c'était un jouet, et il finit par se rappeler que les femmes faisaient partie des nombreuses choses que Jôan détestait (de la même façon que les cafards <3). Il s'approchait maintenant, se répétant dans ce qu'il disait, alors Jôan décida de passer la question. Il le fit se lever, ce qui le fit grogner légèrement (rappelez-vous son état de loquitude peu avant son arrivée) et... Lui versa son verre sur la tête ! Et cette malheureuse victime qu'était Jôan ne protesta même pas en hurlant comme une fillette qu'il venait de saloper une chemise certes simple, mais à 40000 yens. En fait il s'en tapait pas mal (puisque suffisait de prendre la carte de crédit à papounet pour s'en payer une quarantaine par mois) mais c'était pour le principe quoi. Bref, pour une fois il resta de marbre, ou de brume vu sa tronche... (joli nuaaaaaaaage) Et malgré cet état de brumitude avancé, le murmure du médecin lui parvint :

"Pourquoi discuter de chose sur lequel nos points de vue différents, est ce pour cela que tu m’as appelé ? Ou bien est ce pour autre chose ?"

Et sa main fit joujou quelques instants ce que Jôan apprécia fortement, mais elle repartit trop vite pour aller servir un verre de saké à son "possesseur". L'alcool de riz lui dégoulinait partout et il regarda Haruto d'un air innocent et lui dis : "Oh mon vilain cochon, j'ose espérer que tu vas venir réparer tes dégâts." Pour le coup ça faisait vraiment SM "Oh oui j'ai été vilain maitre, frappe-moiiiiiiii !" mais rassurez-vous, ce n'était ce à quoi Jôan pensait. Il reprit son propre verre le vida presque en entier, y jeta son joint et reposa le tout sur la table basse. Il adressa alors un sourire malsain à Sairenji-san et dit : "Tu as à la réponse à ta question je crois." Avoir envie de s'amuser avec toi, c'est une raison tout à fait correcte non Haruto ?
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MessageSujet: Re: Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?]   Suite 147 [PV Jôan :: Yaoi ?] Icon_minitime

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