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 Shukon Asami

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Shukon Asami
Perfect Housewife
Shukon Asami


Nombre de messages : 6
Age : 34
Age du protagoniste : 26 ans
Date d'inscription : 22/09/2008

Identité
Rang: Nerveuse mais parfaite si si
Yens: 2 000 000
Santé:
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MessageSujet: Shukon Asami   Shukon Asami Icon_minitimeMer 24 Sep - 11:15

Prénom : Asami Etsu
Nom : Shukon
Surnom(s): Aucun de connu.

Nationalité : Japonaise.

Clan : Shukon bien entendu.

Age : 26 ans
Métier : Femme au foyer
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle

Rang souhaité : Perfect Housewife

Description physique :

Quand on est une japonaise bien élevée, dans la plus pure tradition nippone, avoir les cheveux châtain clair choque un peu vous ne trouvez pas ? Asami n’y a jamais vraiment prêté attention, après tout ce n’était que des cheveux mais sa mère ne cessait de les fixer d’un mauvais œil, la mine aigrie, regrettant que sa fille n’ait pas les cheveux noirs de toute japonaise qui se respecte. Pourtant, mis à part ses étranges cheveux clairs, tout était parfait du côté du physique. Un visage fin, des yeux en amande brun pétillant de douceur, un sourire aux lèvres discret peint en rouge qu'elle cachait timidement derrière sa main, une peau naturellement pâle et pure… Le visage qu’une geisha aurait pût avoir et qui faisait la fierté de ses parents qui ne pouvaient que s’enorgueillir à sa place de sa beauté. Pas très grande, frôlant à peine le 1 mètre 60, elle avance d’une démarche gracieuse vêtue d’un kimono traditionnel, l‘Omeshi, les cheveux attachés en chignon, claquant le bois de ses zoris sur le sol.

Mais l’Omeshi a désormais laissé place au kimono formel des femmes mariées même si l’habit noir décoré des écussons de son époux ne peut que faire ressortir son teint pâle et ses cheveux clairs. Innocente, elle avance d’un pas lent, le dos raide, épouse digne, sans que son sourire doux ne quitte son visage pour une attitude plus sévère qu’ont d’habitude les femmes mariées. Que voulez vous, elle est heureuse et ses yeux brillants de joie expriment très clairement son bonheur que d’être mariée à Minoru Shukon. Sa mère préférerait certainement qu'elle efface ce sourire niaiseux de jeune fille en fleur pour un comportement discret, plus digne d’une bonne épouse, mais la jeune femme songe avec un peu d’amusement que ce n’est pas un crime d’avouer simplement au monde que son cœur d’enfant est comblée par le simple fait de savoir que ce soir, elle pourra apaiser la fatigue de son époux d‘un doux baiser…

Description psychique :

Elle se trouve chanceuse.
Incroyablement chanceuse même et ne désire que remercier son mari de l’avoir choisie elle parmi tant d’autres femmes plus jolies et peut-être meilleures épouses qu’elle. Quand il rentre, ce ne sont que ses plats préférés qui ont été cuisinés, et elle s’approche aussitôt pour le débarrasser avec des gestes doux de ses affaires, lui conseillant, la voix débordant de tendresse et d’amour, d’aller s’allonger un peu sur le canapé avant que le repas ne soit servit… Un massage ? Elle est déjà là à ses côtés avec une crème apaisante. Une sortie ? Elle hésite sur le choix de la tenue à porter. Un film à voir ? Qu’il en profite, elle n’aime pas regarder la télévision. Il rentrera tard ce soir ? Alors elle fera en sorte de le relaxer quand il rentrera, son prince charmant qui se tue au travail pour subvenir aux besoins de leur petit couple.

Les autres… non les autres n’ont pas tout ça, se dit-elle en croisant le regard d’une jeune femme qui s’attarde sur son kimono neuf. Elles n’ont pas un mari si parfait qui lui offre une vie de véritable princesse, la comblant de cadeaux, d’attentions… Alors en échange de tout cela, elle qui, fidèle épouse, reste la maison pour s’occuper du ménage en attendant la venue de leur premier enfant qu’elle élèvera avec une tendresse comparable à celle qui brille dans son regard quand elle enlace son époux, elle s’applique à s’occuper de son couple d’une manière presque parfaite. A longueur de journée, elle lave, frotte, récure, étend, cuisine pour que la maison soit impeccable quand son mari rentrera sans ressembler pour autant à ces photos de maisons témoins dans les magasines qu’elle feuillette.

Mais ce qui l’intéresse avant tout, ce sont les avis des psychologues et des thérapeutes sur l’amour et la vie à deux. Une couleur est plus apaisante pour la chambre à coucher et favorise les échanges entre les deux époux ? Le soir même elle propose à Minoru de changer un peu la décoration de leur chambre. Une jeune psychologue experte en cuisine témoigne qu’un plat en particulier apaise l’esprit et détend après une grosse journée de travail ? Minoru le découvre et le déguste avec un peu de curiosité à son dîner. Une nouvelle huile de massage favorise la fécondité ? Elle s’occupera de son cher et tendre par des gestes amoureux, les mains enduites de crème pour un massage délicieux… Tout, elle est prête à tout pour son mariage. Non pas dans le but de le sauver mais simplement de préserver ces bases solides qui existent entre eux depuis bientôt un an.

Passionnée, elle en arrive parfois à se mettre dans des états de nerfs incroyable pour une simple préparation de repas, manquant de se ronger les ongles jusqu’au sang, ne se retenant que pour offrir quand elle sort, l’image d’une parfaite épouse soignée qui ne se laisse pas aller même si elle demeure dans sa maison à longueur de journée. Le temps ne lui parait pas long car quand elle a fini ses occupations journalières, elle peut demeurer des heures sur le canapé à contempler simplement le beau visage de Minoru dans un cadre photo…

Signe(s) particulier(s) : Frôle les crises de nerf, et parfois l'hystérie, quand elle est toute seule bien évidemment et cela pour des broutilles... enfin, broutilles pour les autres, pas pour elle.

Buts : Être l'épouse parfaite quelles que soient les circonstances.

Arme de prédilection/Style de combat : … Un rouleau à pâtisserie ? Minoru ? Non mais sérieusement, essayez d’imaginer Asami entrain de se battre. Elle n’est presque pas crédible quand elle hausse le ton alors si elle montre les poings… En vérité, elle peut très bien décider d’abattre quelqu’un, surtout l’une de ces pétasses que se tape son cher et tendre… Si seulement elle avait un flingue… si seulement elle le savait…

Devise ou citation : Tout tout pour mon chéri mon chéri ^^

Histoire :

La première fois qu’elle a croisé son regard, se fut un coup de foudre.

A sens unique.

En même temps c’était pas vraiment le moment choisit pour retomber amoureux… L’enterrement de madame Shukon fut l’occasion donnée à la famille Etsu/Oeda de se réconcilier. Enfin, juste pour une journée entière. En vérité, tout n’était qu’une question d’hypocrisie. Les seuls mots sincères de cette journée fut les condoléances murmurées au pauvre mari bafoué et désormais veuf, obligé d’élever seul un enfant que tout le monde savait bâtard sans rien oser dire.

Pas en face en tout cas.

L’arbre généalogique de la famille Oeda était semblable à celui de n’importe quelle famille normale: avec ses mariages, parfois arrangés certes, ses secrets, ses bonheurs et ses morts. Mais il n’y avait pas plus différents que les deux familles Etsu et Oeda.

Junko et Akito Oeda étaient frères et sœurs avec tout ce que cela comporte comme disputes et pots cassés avec les grandes réconciliations théâtrales. La première s’était mariée avec un homme influent, chef d’entreprise, le deuxième avait épousé une jeune femme de bonne famille, le mariage étant bien entendu arrangé. De ces unions, naquirent deux petits garçons, Akira et Shuuji. Ce que personne ne savait en vérité c’était que Junko Etsu, née Oeda, n’avait pas donné naissance à un Etsu mais à un Williams. Le véritable père était le meilleur ami de son mari, ce dernier décédant un mois après la conception du petit Akira. Secret qui fut donc bien gardé après le départ en Angleterre du meilleur ami, bien que ce dernier fut menacé par le fait que Sir Richard Williams avait des cheveux… châtains. Mais l’héritage paternel s’arrêta à un simple nez retroussé. Pendant ce temps, du côté Oeda, l’enfant grandit, épousa une jeune femme qui elle-même était de bonne famille et de leur union naquit feu madame Shukon. Akira, épousa Saki Mamoshiru qui donna naissance à une merveilleuse petite fille… aux cheveux étrangement clairs.

Saki Mamoshiru, de son côté, se considérait comme l’une des dernières femmes respectables du Japon. L’époque était décadente et la sauvagerie mêlée de luxure et d’alcool de la jeunesse d’aujourd’hui ne lui attirait qu’une légère grimace de mépris. Ainsi, quand son cher et tendre apeuré, qui perdait étrangement ses attributs masculins en présence d’une femme aussi stricte, murmura qu’il lui pardonnait la liaison qu’elle avait eut avec un quelconque étranger rencontré lors de ses heures de travail, elle se mit en 4 pour prouver que la petite fille était une Etsu.

Trois analyses d’A.D.N plus tard, les regards se tournèrent vers la grand-mère qui étrangement n’émit plus un mot. Le secret enfin révélé, tout sembla redevenir calme… sauf dans le cœur de Saki qui avait été blessé dans son honneur de dernière respectable du Japon par ces insinuations -plus ou moins- infondées. Mais elle se jura de tout faire pour prouver à son époux ainsi qu’à leurs familles respectives que ce n’était une erreur de cette chaudasse de Grand-Mère qui allait empêcher Asami Setsu d’être une future mère de famille dans la plus pure tradition japonaise.

L’enfant fut donc élevée avec un bon siècle de retard, se baladant en kimono traditionnel quand elle ne portait pas l’uniforme du collège pour filles sous le regard narquois des autres pré-adolescentes qui ne juraient que par les boys-band du moment et des tenues toujours plus légères, pour un comportement qui ne l’était pas moins. Adolescente facile, calme et pourtant pas réservée, elle ne se liait que très rarement avec les autres jeune filles qui la comparaient à leurs grands-mères respectives. Mais Asami ne se vexa de ces propos, sachant tout simplement que c’était une éducation comme une autre, plus que respectable et que ces pimbêches de toute façon n’avaient vraiment rien comprit à la vie.

Ayant obtenu son diplôme à 18 ans, avec des résultats plutôt moyens, sa mère étant beaucoup plus préoccupée par son conditionnement de futur épouse parfaite et mère de famille convenable pour lui laisser le temps nécessaire à son travail scolaire. Aurait-elle continuer à l’université pour obtenir un travail ? Si seulement elle y avait seulement pensé entre un cours de cuisine, un de couture et un de service à thé. L’éducation ayant fait son ouvrage, elle passa ses journées entières à la demeure familiale tandis que sa mère essayait un bon partit parmi les jeunes hommes qui finalement n’étaient jamais assez bien pour une future épouse comme elle.

Arriva alors, à ses 25 ans, la mort de sa cousine et ainsi la rencontre avec Minoru Shukon. Elle passa la journée entière, vêtue en blanc, à le contempler de loin sans oser s’approcher, ne décidant à lui adresser la parole pour lui présenter les condoléances les plus sincères en compagnie de ses parents. C’est à peine s’il entendu bien entendu. Les mois passèrent, et le regard pétillant d’Asami prit une teinte plus songeuse sous les yeux exaspérés de sa mère qui la voyait agir comme une adolescente en fleur ce qui n’était pas absolument pas d’une jeune femme comme elle.

Les nouvelles qu’elle consentit à lui donner tout de même, il fallait bien répondre à ses questions incessantes, ne concernèrent que la jeune femme qu’il venait de trouver, une « petite dévergondée mal élevée qui ne serait pas certainement l’épouse tant attendu pour remplacer l’autre prostituée droguée du quartier des lanternes rouges ». Ainsi donc, il avait une autre fiancée, se dit Asami qui pourtant ne perdit pas espoir mais renonça à rêver chaque jour à ce prince charmant qu’elle n’avait croisé qu’une seule fois.

La vie étant ce qu’elle est, et parfois accordant à ses passagers du moment un petit instant de bonheur, elle finit par le recroiser lors de la fête du Gion Matsuri. Cette fois-ci, sa mère étant malade et son époux ayant été obligé de rester à son chevet, elle le revit cette fois-ci, seule… sans aucune excuse pour aller lui parler. Il n’y avait personne à son bras, elle en déduisit que son histoire n’avait duré qu’un moment, chose qu’elle ne comprenait pas, son esprit conditionné lui répétant qu’un couple se devait d’être inséparable à la vie à la mort.

Un feu de joie dans une main, ce fut lui qui s’avança pour allumer son bâton du sien, lui offrant un doux sourire auquel elle répondit par un timide « bonsoir » les yeux pétillant à nouveau de joie, plus brillants encore que les lumières qui éclataient au même moment dans le ciel.

Instant romantique qui se solda quelques mois plus tard par un mariage sous l’œil satisfait de Saki qui voyait en Asami l’épouse parfaite pour ce jeune veuf bien portant et riche. Sa fille pourrait certainement reprendre en main l’éducation de ce jeune bâtard de Jôan, avant de concevoir un enfant qui se montrerait l’héritier parfait pour la famille Shukon.
Épouse fidèle et certainement plus heureuse que la majorité des femmes d’aujourd’hui, Asami en accordant sa main à Minoru Shukon ne songea pas un instant que son mari ne serait peut-être pas aussi parfait que sa jeune femme…

Inventaire : Des instruments de cuisine en veux-tu en voilà, quelques bijoux discrets, des kimonos en soie, un parfum offert lors de son anniversaire par son époux, une broche en argent, en peigne en os décoré, un époux merveilleux.
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Shukon Minoru
Oyabun
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MessageSujet: Re: Shukon Asami   Shukon Asami Icon_minitimeMer 24 Sep - 11:37

My dear wife...

Juste pour dire que pour ma part c'est tout bon, et que je suis ravi de pouvoir être le premier à vous accueillir solennellement en ces lieux.
(C'est vrai, prenez Okane-san, il vaut mieux que je sois là pour vous protéger...)
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Sawada Kioshi
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MessageSujet: Re: Shukon Asami   Shukon Asami Icon_minitimeMer 1 Oct - 0:07

Je ne vois aucun problème avec cette fiche... elle est donc naturellement validée... si notre cher Shukon-dono fut d'accord avec le contenu, je ne vois pas pourquoi je refuserais la fiche alors que j'ai bien aimé. Donc Validée, allez je balance ça chez les Shukon.
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MessageSujet: Re: Shukon Asami   Shukon Asami Icon_minitime

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